21/04
** S'assois parterre à côté de la fenêtre**
Cher journal,
J'essaye de trouver la force d'écrire mais est ce vraiment utile ?
Je n'en peux plus... Je ne supporte plus la douleur, je supporte plus le mal qui est fait autour de moi... Même si il reste des côtés positifs, les côtés négatif sont bien plus nombreux...
Hier il y avait le mariage de Mike et Maya, j'ai longtemps hésité à y aller mais j'y suis tout de même allez, j'étais avec Marie et Greg, arme dans le sac au cas où. Eglise puis Mairie, ils étaient là, ils ne sont pas rester longtemps mais ils étaient là. J'ai laissé les deux et à la Mairie, je me suis mis en arrière pour pouvoir voir tout le monde et...
Après la fin du mariage, quelque chose était organisé à Panagia, Je n'y suis pas allez, laissant Marie et Greg y allez.
Je me suis dirigé vers Kavala, j'ai fais demi tour et je suis parti vers le traitement d'acier direction Néo, j'ai rattraper une M4 que j'avais croisé un peu plus tôt, celle ci c'est mis sur le bas côté me laissant la doubler puis elle a redémarrer, j'ai cru entendre "laisse le passé". Bref, je suis parti vers néo, il y avait la Bodyguard à l'ATM, donc peu de chance qu'il m'arrive quelque chose, la prochaine fois je m'y prendrais à deux fois avant de penser ça...
J'ai tourné dans Néo pour vérifier certaines choses et me suis posé devant le bar Néo. Plusieurs personnes sont sorties des ruelles à côté, j'ai eu le temps d'envoyer un message de besoin d'aide et c'était fini, il était déjà trop tard... Les mains sur la tête, les mains liés, je priais pour que la BGS arrive à temps mais non, le temps qu'il arrive, ils m'avaient déjà emmener dans leur voiture. Nous avons quitté Néo direction Athira, si je me trompe pas, j'ai cru voir le panneau Frini mais je sais qu'on a pris cette route, nous avons fini la course dans les bois.
Ils m'ont mis de côté le temps de parler entre eux, j'aurais préféré qu'ils ne parlent pas entre eux, car l'attente me paraissait ultra longue, je pensais aux personnes extérieur à sa.
Quand ils sont revenu, j'ai compris que c'était le début de mon calvaire. Ils me parlaient, je ne les écoutais pas vraiment, je pensais à autre chose, ils m'ont poser quelques questions sur mon activité des jours précédents, ce que je cherchais, ce que je voulais. Arrivé aux questions que je redoutais, je n'ai pas voulu répondre, j'ai essayé de changer de sujet, mais bon, quand on est con et têtu, on ne change pas, et eux sont pas prêt de changer. Après cela, le ton est monté, ils avaient une idée dans la tête, j'ai pu la découvrir quelques temps après.
Une de ces personnes c'est approché de moi, il m'a sorti du blabla et le calvaire commença... Un puis deux puis trois coups de crosses sur le crâne. Je tomba plusieurs fois à terre, une douleur commença a se faire sentir, la tête contre le sol, j'étais pensif...
Ils me releva en me demandant si j'avais mal, puis suivi de : on ne fait que commencer, un d'eux posa son canon sur ma tempe, puis me remet un coup de crosse...
Je me releva comme je pouvais, les autres sont revenus vers nous, il me posa de nouvelles questions, après cette séance de questions, l'un deux s'approcha de moi, avec quelques choses dans les mains, il faisait nuit, je n'ai pas réussi a voir ce que c'était, mais quelques secondes après, j'ai vite deviné ce que c'était. Ils m'enleva mes vêtements, mon sac, mon équipement, l'un deux s'approcha et me mis un coup dans le dos de ce fameux outil qui était enfaite un pied de biche ou quelque chose du genre. Il ne se résuma pas à un seul mais bien à une dizaine de coups, je commençais à ne plus supporter la douleur, je leur dis ce qu'ils veulent entendre, pensant qu'ils allaient s'arrêter là.
Ils me laissa dans la douleur le temps d'une nouvelle discussion entre eux, l'un deux approcha une perceuse de moi, je leur ai demandé de ne pas le faire, mais impossible de les raisonné, il rentra le foret dans mon genou, doucement, la douleur était intense, plus j'avais mal, plus il rentrait doucement, le foret rentra complètement dans l'os, il l'avait mis de façon à ce que sa ne traverse pas, mais que la douleur monte dans la cuisse. Il retira d'un coup sec, je regardais mon genou saigner, troué, les larmes aux yeux... Pas forcément des larmes de douleur, mais aussi des larmes de peine et colère, enfin beaucoup d'émotions mélangées.
Afin d'intensifier la douleur, l'un d'eux pris son arme de poing et visa mon genou ensanglanté, le temps de d'ouvrir la bouche, il tira, ce qui me multiplia la douleur.
Je resta inerte face à eux, quasiment inconscient, suite aux sévices subit...
J'entendis juste : On en a fini avec lui, on le dépose et on se casse se planquer...
Ils me mirent dans leur véhicule et me déposa aux abords d'Athira, j'étais sans force, rempli de douleur...
Je me mis a marché ou plutôt à me glisser pour rejoindre un endroit où je pouvais prévenir où j'étais. Je mis plusieurs longues minutes à rejoindre cet endroit, dans une forte douleur...
J'ai réussi à acheter un téléphone pour envoyer un message à la BGS pour leur donner ma position... Ils sont rapidement, ils m'ont fait monter dans l'hélicoptère en m'aidant. Je ne comprenais pas vraiment ce qui m'arrivait, je n'arrivais pas vraiment à reconnaître qui était qui et où j'étais sur le moment.
Dans l'hélicoptère, la BGS a essayé d'appeler les pompiers, ils étaient surchargé... Un bandage en guise de soin, j'essayais de résister en attendant des soins appropriés. Je ne m'attendais pas à ces personnes à mes côtés, la BGS n'est pas seulement un groupe de sécurité, sa a l'air d'un groupe uni et familial. J'ai reçu un message dans l'hélicoptère de Marie pour des nouvelles, ma réponse deux mots : J'ai mal.
Francis a préféré que je reste avec eux, je les ai donc accompagné à leur contrat, je ne me rendais même pas compte. Arrivé au contrat de saltbay, je me suis assis, semi couché, à l'intérieur de la maison, je commençais à tourner de l'œil même si je forçais pour rester conscient.
J'ai vu Greg s'approcher de moi afin de demander si tout aillait bien, accompagné derrière de Marie... Vu l'état dans lequel j'étais, je n'avais quasi aucune force pour leur répondre. Ils s'accroupirent à coté de moi, et les premiers mots de Marie était avec une toute petite voix : Je suis désolée. Pourquoi est-elle désolée... Même dans la douleur et dans l'incompréhension où j'étais, j'avais de la peine de la voire comme sa...
Ils sont rester avec moi un petit moment jusqu'au départ du convoi.
A la sortie de la maison pour allez monter dans un tempest, Saral Delryn mélange moi et marie pour Andriy et Mia, nous lui disons qu'il se trompe et il me reconnaît. Une de ses réflexions m'a particulièrement déplu : Bah pourquoi tu es pas en BGS, sa m'aurait fait un BB de plus, j'avais juste envie de lui dire : Tu sais pas ce qui se passe, juste ferme ta gueule et renseigne toi. Après cela, il vient me mettre une tape dans le dos, avec ce que j'avais subit juste avant, chose à pas faire, instantanément, la réponse fut claire, nette et précise : La prochaine fois que tu fais sa, je t'éclate. Marie c'est aussi énervée après lui, Saral nous répondit que c'était pour rire. Ouai, c'est vachement drôle.
Francis me fit monter avec lui, lors du trajet, je me sentais partir, je me remémorais mes meilleurs moments, mes amis, ma famille, les personnes que j'aurais aimé voir pas loin de moi...
Arrivé au vendeur, je descendis du camion comme je pouvais et me suis callé sur un banc afin de limiter la douleur. Lorsque je commença à fermer les yeux, Thibault s'approcha de moi, je ne comprenait pas ce qu'il disait, je l'entendais, c'est tout. La seule chose que j'ai compris, c'est parce qu'il l'a répété plusieurs fois, c'est : on le perd, Francis, on le perd...
Quelques instants, les pompiers étaient là, Thibault aussi, Le pompier me mit dans le VSAV pour parler, j'ai juste pu lui dire que j'avais mal.
Ils m'emmena à l'hôpital où les médecins me pris en charge à mon arrivée. Je me réveilla quelques heures après. Seul, je regarda autour de moi, inquiet par ce qu'il s'était passé. Je vis quelques instants après l'hélicoptère BGS se poser à l'héliport vu que ma chambre donnait sur cette vue. Une dizaine de personne entra dans ma chambre, j'arrivais enfin à statuer qui était qui. Je vis que Greg était tout de même venu, geste apprécié après ce qu'il s'était passé entre nous.
Je quitta l'hôpital dans un meilleur état que quand j'étais rentré. J'étais quand même ailleurs, j'avais du mal à marcher, Francis rapprocha l'hélico, je monta dedans, il y avait tout le monde. Direction le complexe, puis direction la Aristeel. Je me mis devant la Aristeel pour regarder les alentours, si je me rappel bien c'est Thibault qui est venu vers moi, pour voir comment ça allait et savoir ce que je faisais, Une question me trottait dans la tête, je lui posa : Pourquoi ne m'ont-ils pas fini ? Pourquoi ne abréger le mal par le mal ? Au moins je ne verrais plus le mal qui m'est fait et le mal qui est fait autour de moi. Réponse à la quel je m'attendais : Faut pas dire sa.
Cette question continua de me trotter...
Je resta seul plusieurs dizaines de minutes, me posant mille et une questions, sur mon passé, sur mon présent et sur mon futur, je me remettais en question.
Je demanda à quelqu'un de m'emmener chez moi me changer, c'est George qui se dévoua, en route il me dit que je pouvais l'appeler que sa le dérangerai pas de venir si j'avais besoin dans les jours prochains. Même si je ne le ferais pas, je l'ai tout de même remercié.
Retour à la AriSteel, Je me remis dans mon coin continuant à rester pensif. L'heure de rentrer chez moi approchait, je voudrais savoir ce qu'il serait passé si j'avais fais les bons ou mêmes les mauvais choix. J'ai de la peine, de la haine, du dégout, pleins de choses que je ne peux pas exprimer ou je n'en ai pas l'occasion...
** Regarde l'heure ---> l'horloge affiche 03:08**
Qui sait ? vont ils revenir me chercher ? vais-je me réveiller si je m'endors...
**Regarde les blessures**
Suis-je en force de continuer à subir, à affronté, tout simplement, ai-je la force de continuer à vivre ou plutôt à survivre...
** Assis au sol près du mur, regardant le ciel étoilé à travers la fenêtre, à la lumière que fourni la lune, les larmes aux yeux, certaines s'échappent sur mes joues**