Présentation de Samir Gambino

Samir Gambino

Citoyen d'Altis
  Membre
24 Janv. 2020
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【PRÉSENTATION IRL】

Votre prénom → Théo
Votre âge → 19 ans
Loisirs & Passions → Développement, Jeux Vidéos
Votre expérience Rôle Play → 2000 Heures

Nom Rôle Play → Samir Gambino
Âge du personnage → 23
Date de naissance → 16 Avril 1992
Nationalité & Origines → D'origine Algérienne

Présentation RôlePlay

Chapitre 1 - Naissance et retrouvailles

Samir Gambino, naquit à Tlemcen en Algérie le 16 avril 1992. Samir est le deuxième fils d'Iyad et Safiya.
Iyad son père, avec le temps, se procura un bout de terrain sur lequel il fit pousser différents légumes et fruits qu'il revendra tous les dimanches au marché de la ville. Iyad était un homme modeste, en effet il chercher pas la richesse, mais le bonheur pour toute sa famille. Safiya, ne travailler pas, elle resta toutes les journées à la maison pour s'occuper de ses deux enfants, le travail, parfois, devenait compliquer, avec l'arrivée du petit Samir, Safiya avait beaucoup plus de travail. L'argent ne courait pas les rues à cause des divers problèmes économiques. Parlons de son frère, Wassim. Il était gentil et très protecteur avec le petit Samir. À sa naissance Wassim avait seulement 6 ans mais il comprit rapidement que le nouveau-né aurait besoin d'un ange sur lequel comptait. Durant leur enfance les deux frères étaient protecteurs l'un envers l'autre. Ils aidèrent rapidement leurs parents aux diverses tâches ménagères pour Safiya et aux diverses tâches de jardinages pour ce qui est du père, Iyad. Toute la famille a prospéré dans un quartier modeste de Tlemcen ils habitaient à Sidi Moussa, un quartier réputé pour sa bonne humeur et le calme qu'il dégage. Samir était un enfant très serviable il aimait aider les autres mêmes quand ces derniers ne lui demander pas. En revanche, sa scolarité était un autre sujet... Il fut énormément perturbé durant toute la scolarité. Personne ne savait pourquoi, lui-même avait l'air de l'ignorer. Les enseignants pensaient presque que tous que le jeune Samir avait un rapport compliqué avec l'autorité, « hors dans ces établissements scolaires il y a des règles à respecter » répétaient sans cesse les enseignants. Samir avait un oncle qu'il a malheureusement connu que très tard à cause de la mauvaise entente familiale entre son père et son oncle. Samir, fêta son quinzième anniversaire, tout le monde fût présent ses amis, sa famille. Ils jouaient tous dans les petites rues de Sidi Moussa quand Safiya appela Samir et ses amis à manger le gâteau. Ils mangèrent gaiement quand soudain, la porte s'ouvra et un homme grand et fort traversa cette dernière. « Me voilà Samir, joyeux anniversaire ! » cria l'oncle Hamza. Samir fout de joie sauta dans ses bras !

• Chapitre 2 - Correspondance, départ précipité

Samir a maintenant une vingtaine d'années. Le voilà, un homme ressemblant fortement à son oncle Hamza qu'il prit comme exemple durant toute son enfance. Samir avait un ami qui comptait énormément pour lui. Il s'appelait Zuhri, cet ami en question était parti il y a maintenant 2 ans de ça sur une île, en Grèce, l'île d'Altis. Il n'avait pas expliqué les raisons de son départ bien que Samir se doutât des raisons. Zuhri avait des problèmes avec la justice Marocaine, il était très protecteur de l'environnement et à prolonger le travail de ses ancêtres, protéger l'environnement et convaincre les autres de faire de même grâce aux armes. Mais bon, ce qui importa Samir était de recevoir toutes les deux semaines la lettre de Zuhri, son ami ! Dans ses lettres aguicheuses, il expliqua que la vie sur Altis était plus belle plus grande ! Que si Samir, un jour, venait à le rejoindre, il pourrait envoyer de l'argent à sa famille et vivre sur Altis sans soucis loin de tous problèmes. Samir était énormément attiré par ça, mais il savait que Zuhri voulait énormément le revoir, il pensait donc qu'il caricaturait ses propos pour l'envier à le rejoindre sur Altis. Samir ne voulait pas quitter sa famille, ses études de droit, et ses amis pour rejoindre une île inconnue. Zuhri ne décrivait jamais le métier qu'il exerce sur Altis il resta toujours très mystérieux sur ce sujet. Un an et demi passèrent quand un jour, Samir ne reçut aucune lettre de Zuhri. « Aucune lettre ? Aucune nouvelle ? Mon t-il oublié ? » s'écria-t-il ! Les jours les semaines les mois passèrent sans aucune lettre de sa part. Samir informa toute sa famille et ses amis de cette nouvelle accablante. Après mûre réflexion et de longues discussions, il prit donc la décision de partir, de tout arrêter pour rejoindre, pour retrouver son frère du cœur Zuhri. Wassim lui fit la promesse de veiller sur la famille. Il embrassa son père, sa mère, son oncle et son frère avant d'embarquer dans le vol n°27 en direction de l'Aéroport d'Athira

• Chapitre 3 - Une vie dirigé aveuglément

Me voilà, désormais sans aucune nouvelle de mon neveu. Le voilà livré à lui-même, sur une île inconnue de tous. Tout arrêter pour retrouver un ami est une dangereuse quête. J'ai faits la promesse de protéger le petit Samir , malheureusement les temps non pas changés ici, l'argent ne court toujours pas les rues et je ne peux m'offrir un vol sur cette île. J'espère que les nouvelles arriveront rapidement.

« Oncle Hamza, je t'écris, voilà mes nouvelles. Je suis bien arrivé sur Altis, une île pour le moins magnifique. Le Français qui a été barbant à apprendre m'a finalement servi. Les Altos, c'est comme cela que nous devons les appeler parlent tous français ! J'espère que là-bas tout va bien . Maman et Papa comment vont-ils ? Et Wassim a-t-il réussi à convaincre Anita de sortir avec lui, haha ! Fais leur de gros bisous de ma part. Moi ici tout va bien j'ai réussi à emprunter de l'argent pour pouvoir acquérir un bâti qui est pour le moins luxueux. Je serai ravi, un jour, de vous voir à ma table. J'ai également décroché un emploi, mes études de droit non servirent à rien hélas ! Je travaille dans une S.A.R.L, la Oil Entreprise. Je suis ouvrier et je gagne plutôt bien ma vie. D’ailleurs ci-joint tu trouveras 50 000 Dirham pour la famille. Je n'ai toujours aucune trace de Zuhri la police refuse de me dire quoi que ce soit à son sujet, j'ai bien peur qu'il est mal tourné. Je dois vous laisser je reprends le travail dans 15 minutes. Je vous embrasse Samir. »​
 

Mao Costa

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