Présentation d'Antonio Calabria

Antonio Calabria

Citoyen d'Altis
  Membre
26 Juil. 2016
4
1
20
Présentation IRL :

-Age ; 23 ans
-Lieu de résidence ; Dijon
-Comment avez vous connus le serveur ; Amis
-Vos loisirs, passions ; Moto,sport

Présentation RP :

-Nom et Prénom de votre personnage ; Antonio Calabria
-Age de votre personnage ; 25 ans
-Nationalité de votre personnage ; Italien


Histoire RP :

A moi les petites minettes d'altis ! ma petite gueule de Siciliano risque de les faire craquer les petites méditerranéenne. Alors les filles moi c'est Antonio Calabria, et ouais les filles, digne successeur du PDG Claudio Calabria, descendant de la déesse Olivetti.


J'ai jamais vraiment connu le besoin, je suis le genre de type qui est né avec une cuillère en argent dans la bouche, avec la petite mexicaine bien roulé pour te la disposer en bouche. Mon père si vous le connaissez pas vous tarderez pas à le connaître, il a su mettre sa famille à l’abri du besoin... Ma mère la première, cette croqueuse de diamants, toujours tirée à quatre épingles, se vautrant, se pavanant dans l’opulence et le luxe.


Des tenues toujours plus somptueuse les unes que les autres : SPA, manucure, coiffeur, UV, shopping,... rythmait la majeur partie de sa vie, la desperate housewives à la sicilienne. C'est Maria Torez, une mexicaine qui m'a accompagnée dans mes premiers pas, ma mère pouvait pas mener grand train et s'occuper de son gosse. J'ai appris qu'avec l'argent on pouvait disposer de tout, c'était plus une histoire d'accessibilité, mais juste une histoire de montant sur le chèque. Le bonheur ne s'achète pas, et c'est bien plus tard que le malaise s'installera, mais une pilule et ça repart.


J'ai évolué dans ce milieu où l'argent coulait à flot, j'ai donc fréquenté des écoles privés, fils et filles de tout les gros bonnets, sans me douter que celui qui allait devenir mon meilleur ami était le fils du mafieux le plus éminent de Sicile, passons... J'ai suivi une scolarité marqué par les éloges, jusqu'au collège tout du moins, passé le collège et en plein cap de l'adolescence, il fallait explorer tout le potentiel qui m'était donné, ou du moins mis a disposition. Mon père pouvait se montrer généreux, parfois même très généreux... A l'âge de 15 ans, mon collègue Vito et moi, voulions mener la grande vie nous aussi, nous étions les princes d'un royaume à conquérir. Au dessus des lois au dessus de tous, comme deux gamins à qui toute les opportunités s'offraient, pour qui l'argent leurs brûlaient les doigts... Nous savions que nous étions couvert, les flics locaux marchaient à la baguette, une fois le chèque remis dans la bonne poche.


Ça a commencé par des petites virées en Maserati coupé sport, à base de drift sur le parking du lycée, de burn devant le comico,... Une belle époque moi je vous le dis, une époque d'aventures et de découvertes palpitantes à base de sentiments d'invulnérabilité exacerbé par l'oseille... Vers l'âge de 18 ans vinrent les grosses soirées en boite de nuit, une des boites branché du père de Vito. Un carré VIP des petits culs, un champagne millésimé, une paille et de la blanche dans le veston versasse, de quoi t’emmener jusqu'au bout de la nuit.


Je commençais à délaisser cette foutu scolarité, je savais qu'avec ma gueule, de la tchatche et le padre, j'avais le tapis rouge de déroulé, et c'est pas ces petits scribouillard de profs qui allait la ramener, le prix de ma Maserati garé en bas sur le parking avait de quoi les mettre à la retraite. Bac S de justesse en poche, j'ai continué vers l'agronomie en spécialité oléiculture, la reine Olivetti oblige.


Licence en poche, j'ai pas dérogé, j'attachais beaucoup d'importance au monde de la nuit, et un noctambule avec des liasses plein le costard, de quoi agrémenter sa soirée de vices et de luxures. J'ai donc fait un peu d’événementiel, de la soirée à thème et toutes ces conneries ou toutes ces petites putes friqués sont prêt à se faire mousser pour s'attirer les faveurs de la foule et pour ça rien de telle qu'une belle paire de fesses prêt à twerk, pour te servir un Magnum de champ ! Mon Acolyte Vito et moi avions donc décider d'organiser de grosses soirées et s'en foutre plein les poches et les narines. On c'est mis a organiser les plus grosses soirées du moment, le tout agrémenté par le réseau d’escorte du père de Vito, les plus beau châssis de toute l'île, des avions de chasses en robes plus que sympathique ! Ça nous permettaient de joindre l'utile à l'agréable, on touchait un gros billet pour toutes les soirées de quoi nous payer, l'alcool, la coke et les putes.


Et on a continué à se faire des couilles en or pendant plusieurs années. On a voulu exporter un autre savoir faire que celle de l'huile du grand père, on a donc débarqué aux states, histoire d'exporter nos soirées. Et le succès ne tarda à inonder toute la côte ouest, nous ne sommes jamais sortie de notre Sicile Natale, et la démesure américaine a fait l'effet d'une bombe dans notre expansion personnel et professionnel. On ne parlait plus que des soirées des sicilian bro. On c'est fait un belle éventail de relations dans le milieu, et surtout la rencontre de la « snow queen » de la colombienne de première qualité, prisé dans le milieu, un ricain était à la tête du réseau un certain T.J, que je n'ai rencontré qu'a une seule reprise, lors d'un deal important avec un gang de biker mexicain, à une de nos soirée VIP.


Un mec plutôt bourru, sûr de lui qui était prêt à exploser les cranes de quiconque s’entraveraient à son business et il ne mâchait pas ses mots ce con, j'avais un profond respect pour ce type, son côté homme d'affaire charismatique et ses relations étaient en parfaite corrélation, avec mes ambitions. Les soirées marchaient fort, on était en plein dans le rêve américain, flirtant de prêt avec la snow queen... Mais Vito a payé le prix fort pour cette idylle un peu trop fusionnelle.


Grosse soirée à Las Vegas, une soirée sous les feux de la rampe, un after dans une suite présidentielle accompagné de 5-6 escortes, ce con de Vito avait tapé quelques pilules, je lui avais déconseillé ces merdes bon pour ces connards de hippie en quêtes de voyage psychédélique, il doutait de sa virilité et voulait pas décevoir nos invitées... Il avait encore plus de fierté que moi quand j'y repense ce con... Je le reconnais j'ai tapé quelques cartons aussi... un remake de Las Vegas Parano a la sicilienne, sauf que Vitto c'est jamais réveillé ce matin là... Toutes les putes étaient plus défoncées, les unes que les autres, personnes n'a vu que Vitto faisait une putain d'overdose... Je me suis réveillé dans ma gerbe, la gueule enfariné dans tout les sens du terme, et je l'ai trouvé là, inerte... De la mousse au coin de la bouche, j'ai d'abord cru que j'étais encore sous acides et que je me tapais un mauvais trip... Mais Vito était là gisant devant moi et mon impuissance... Comme Maria disait tant va la cruche a l'eau, qu'elle finit par se briser...


Cette suprématie et ce sentiment d'invulnérabilité, nous ont fait oublier a qu'elle point notre vie l'était... Et nos excès nous ont amenés à cette tragédie... Je contacta aussitôt mon père, avec le décalage imaginez le réveil... Après de long silence et de balbutiements hésitant, mon père appris la macabre vérité … Il avait quelques contacts avec la pègre, il interpella donc l'homme pour qui se débarrasser d'un cadavre était monnaie courante, sans savoir qu'il avait contacté le père de Vito... Vito n'avait jamais été très évasif, sur la fonction première de son père, c'était un homme d'affaire important rien de plus... En vérité c'était un caïd de la pègre de la famille Cirelli... Un jet privé fut dépêché, une équipe de gros bras de la famille cirelli ne tarda pas à débarquer, pendant que moi, j'entreprenais mon retour... Et cette merde ne tarda pas à me retombé sur la gueule ainsi que celle de mon père... Le Pietro Cirelli c'était pas un tendre, il promettait de ruiner la réputation d'olivetti et de torturer chaque membres de notre famille ci jamais il refusait de me livrer... J'ai appris à nouveau que l'argent n'achetait pas tout et Pietro savait qu'il n'était plus une question d'argent mais d'honneur, son seul fils unique contre un autre fils, il promettait que ce serait rapide...


Mon père ne pouvant se résigner à livrer son seul fils en pâture aux lions... Après de nombreuses discussions houleuses, il convint d'un accord commun, à savoir que c'est lui même qui m’exécuterais... Mon père a donc décider d'organiser un casting pour une campagne de pub, avec comme critère de recherche ma corpulence, mes signes distinctif... Mon père n'allait pas tarder à passer de l'autre côté de la barrière. Un profil sortit du lot... Même age, même corpulence, le sujet parfait pour l'ultime scénario... Mon père le fit venir incognito à l’entrepôt et l’exécuta d'une balle dans la tête... Il m'avait donné vie une seconde fois mais a qu'elle prix ?... Après une petite coupe et un petit rasage de prêt, la ressemblance n'était pas flagrante mais suffisante pour gruger le Pietro.


Et le traquenard fonctionna, Cirelli s'excusa d'avoir été obligé d'en arriver la, que pour les affaires il ne pouvait laisser impunie la mort de son fils, qu'il était bien conscient que c'était une erreur de jeunesse, mais que j'avais une part de responsabilité trop importante... Je devais disparaître, quitter mes racines. Ma vie en dépendait et l'intégrité physique et morale de ma famille également. Une petite île sortit du lot dans la recherche de cette Asile ! Altis, une île qui a connu bien des tourments et des revirements... Une conjoncture socio-politique plus que contesté, avec une population plutôt cosmopolite, de quoi passer inaperçu et de me faire passer pour un enfant de chœur.


Mon père se rencarda avec un passeur pour me faire sortir du pays, tous les organismes était gangrené par la pègre, ça aurait éveillé des soupçons... Mon père avait espoir qu'un jour je puisse monter ma propre entreprise, que le climat méditerranéen de l’île était propice à nos oliviers, et l’économie n'attendait qu'un éminent PDG pour la faire osciller et vaciller ... Il était temps de voler de mes propres ailes, de m'accomplir et devenir un homme, n'être dépendant que de ma stature et non plus de l'argent de mon père. Je comptais bien m'imposer sur cette île, et connaître cette apogée que nous convoitions moi et Vito, en sa mémoire... Mon père m'a défendu de conserver mon identitée, mais ce sont mes racines, qui suis-je, ci je ne suis plus un descendant Calabria... Si la vérité devait me rattraper, quand bien même j'assumerais la responsabilité que m'incombe cette tragédie.


Un jour je te rejoindrais là haut Vito, pour me taper des petits culs ailés, me faire des rails de 30 cm entre les seins d'une brésilienne bien bandante... En attendant Vito, j'ai une histoire à écrire et elle commence ici bas maintenant ! Je suis en route dans la cale d'un navire miteux, tu peux me croire ça me change des limousines... J'ai donc décidé pour moi qu'il était temps d'écrire, j'ai troqué le mont blanc qui paraphait les chèques contre un vulgaire crayon de bois, et une vulgaire feuille souillée et je profite de ce récit pour exprimer tout ce que je n'ai jamais pu dire ni même crier, exprimer à qu'elle point tu me manque ******* que tu est... J'ai toujours admiré t'es actes et ta façon de penser., gamin on était déjà dans les pires coups et ensemble on les a fait les 400 coups...Tu est comme un frère pour moi ... Si tu me vois de la haut, j'espère que tu pourra apercevoir le travail que je fais en ta mémoire... Je t'aime mon frère...


Altis écarte les cuisses et apprête toi à me recevoir ! !
 
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