*En retournant dans sa planque, Hugo pose son sac et y sort un petit calepin dans lequel il se met à y écrire.*
Fallait que je m'y mette, m'a dit le psy, "ça nous libère". Après tout c'est vrai que j'ai besoin de parler à quelqu'un, et quelqu'un qui ne me trahira pas.
En arrivant sur Altis en fin Décembre, Hawkins ne m'avait pas réellement fait part du combat que je devais mener. J'ai pas été déçu. Le seul bémol c'est qu'en m’enrôlant dans le RFE, il m'a mit dans la merde, mais il pouvait pas le savoir, je m'en souviens encore, lui et Ninja en haut du phare, en regardant tout les fidèles soldats retourner auprès de leurs familles.
Hawkins a fait de même, il est retourner en Angleterre, retrouver Reload, surveiller la tombe de sa femme et de sa fille.
Moi je suis resté, je me suis attaché au pays. Je suis resté avec Dan et Portos, qui est maintenant lui aussi partit retrouver sa famille au Portugal, ainsi que ses amis tarkans.
Avec Dan on a pas mal traîné ensemble, c'est un chic type. On a rencontré un suédois-portugais avec qui on fait nos petites affaires.
Après ça il y a eu beaucoup de rencontres, majoritairement avec les Internationaux, que j'apprécie beaucoup d'ailleurs, malgré le fait que je les ai déjà combattu, ils ne connaissent pas mon passif. J'aimerais bien avouer à Stockholm et Ebola ma vérité, mais elle pourrait me tuer.
Avant même de reprendre les affaires avec Dan et quelques amis, j'ai hésité à intégrer la Gendarmerie... Mais comme pour chaque menteur, la vérité finie toujours pas resurgir de nul part. La Gendarmerie est entrée en guerre contre toute la population.
J'apprécie ce pays, il est magnifique, il y fait bon vivre, mais elle est gangrenée par une Gendarmerie qui est impliquée dans les pires complots. Dernièrement, elle a instaurée la Loi Martiale dans tout les cantons sans même l'accord des Gouvernements : Un Coup d’État pour une "dictature militaire".
Ils ont fait cela pour exterminer tout les témoins de leurs actes, mais semblerait-il que ce soit trop tard, une Résistance est déjà en marche.
*Range le calepin dans l'une de ses caisses d'armes et repars, marcher en fôret.*
Fallait que je m'y mette, m'a dit le psy, "ça nous libère". Après tout c'est vrai que j'ai besoin de parler à quelqu'un, et quelqu'un qui ne me trahira pas.
En arrivant sur Altis en fin Décembre, Hawkins ne m'avait pas réellement fait part du combat que je devais mener. J'ai pas été déçu. Le seul bémol c'est qu'en m’enrôlant dans le RFE, il m'a mit dans la merde, mais il pouvait pas le savoir, je m'en souviens encore, lui et Ninja en haut du phare, en regardant tout les fidèles soldats retourner auprès de leurs familles.
Hawkins a fait de même, il est retourner en Angleterre, retrouver Reload, surveiller la tombe de sa femme et de sa fille.
Moi je suis resté, je me suis attaché au pays. Je suis resté avec Dan et Portos, qui est maintenant lui aussi partit retrouver sa famille au Portugal, ainsi que ses amis tarkans.
Avec Dan on a pas mal traîné ensemble, c'est un chic type. On a rencontré un suédois-portugais avec qui on fait nos petites affaires.
Après ça il y a eu beaucoup de rencontres, majoritairement avec les Internationaux, que j'apprécie beaucoup d'ailleurs, malgré le fait que je les ai déjà combattu, ils ne connaissent pas mon passif. J'aimerais bien avouer à Stockholm et Ebola ma vérité, mais elle pourrait me tuer.
Avant même de reprendre les affaires avec Dan et quelques amis, j'ai hésité à intégrer la Gendarmerie... Mais comme pour chaque menteur, la vérité finie toujours pas resurgir de nul part. La Gendarmerie est entrée en guerre contre toute la population.
J'apprécie ce pays, il est magnifique, il y fait bon vivre, mais elle est gangrenée par une Gendarmerie qui est impliquée dans les pires complots. Dernièrement, elle a instaurée la Loi Martiale dans tout les cantons sans même l'accord des Gouvernements : Un Coup d’État pour une "dictature militaire".
Ils ont fait cela pour exterminer tout les témoins de leurs actes, mais semblerait-il que ce soit trop tard, une Résistance est déjà en marche.
*Range le calepin dans l'une de ses caisses d'armes et repars, marcher en fôret.*