- 22 Mars 2015
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Chère gendarmerie Altienne,
Toi que j'ai respecté et soutenue,
Toi pour qui j'étais près à faire souffrir mon égo pour te garantir sécurité et prospérité,
Permet moi de te dire que tu es une salope. Tu m'en pardonnera l'expression.
Cela va maintenant faire deux fois que tu m'accuse à tort. Une première fois pour mon nom de famille. Je t'ais pardonné. Mais maintenant une seconde fois simplement parce que mon prénom est évoqué dans une réunion, alors que je n'apparais pas dans le champs de la caméra. J'étais en civil. Comme toujours. Car je suis leur avocat. Et il est normal que l'avocat parle. Mais j'imagine que c'était facile de me confondre avec Cetelem afin de faire le rapprochement avec tous ceux qui prennent ce déguisement.
Vais-je te pardonner aujourd'hui ? Alors même qu'on dit "jamais deux sans trois " ?
Non contente de soutenir un candidat despot, tu t'empresses de faire des amalgames, jouant sur les hazards de la vie.
Oui, je suis déçu.
Certes, je ne m'attendais pas à ce que tu me laisses en paix. Ça non. Tu m'as dans le colimateur depuis bien trop de mois. Mais je m'attendais à une attaque propre, frontale et dénudée de fourberie.
Mais où est donc passé le temps où j'embarquais sur les bancs de mon helico aux côtés de Dimitri Raskalov, gradé de la gendarmerie, pour patrouiller avec l'accord de ses supérieurs ? Le temps où, quand nous venions figer une scène en attendant votre arrivée, vous ne serriez la main, avec un regard reconnaissant, sous les hourra des civils ?
Je suis peut être mégalo, mais toi, ma gendarmerie, tu ne l'assumes pas. Tu veux toujours tout contrôler. Et pourtant, il a fallut que quelqun crie sur une radio pour que vous daigniez patrouiller à Pyrgos.
On aurais pu bosser main dans la main avec l'AAS d'un côté et la gendarmerie de l'autre. On demandais rien en échange sinon le droit de circuler en armes. Tant pis pour vous.
Si nous étions mariés je demanderais le divorce. Mais puisque nous sommes voisins, j'irais chier sur ton paillasson, excuse ma vulgarité.
Un de tes gars a-t-il jamais eu les balls de me convoquer chez toi ? Non. Tu me crains pas vrai ? Encore une fois je ne demandais rien par rapport à ce que je t'aurai apporté.
La suite ? Me priver de mes entreprises qui fournissent du taff et des sous à toute l'île ? Non. Tu ne pourras pas. Enfin si, tu pourras, en manipulant la loi et les preuves. Mais de ce côté là, tout est clean. Et tu le sais puisque tu a beaucoup enquêté, notemment sur le SRT. Et tu sais donc qu'elle ne m'a jamais rapporté ne serais - ce qu'un dixième que ce qu'elle m'a coûté. Je suis un bienfaiteur, un mécène. Mais je te vole la vedette pas vrai ?
Malgré les crimes qui s'y déroulent, j'aime ma Chalkeia. Plus que toi. Tu es jalouse ? C'est un enjeux énorme et splendide pour moi que t'y travailler. L'enquête sur les assassinats avancerait plus vite si la vidéo des reporters nous était communiqué. Mais toi, en petite garce, tu la garde pour toi, et m'accuse de ne pas avancer. Rétention d'information et obstruction à la justice non ?
Ressaisie toi ma grande. C'est pour ton bien !
Qui suis je pour te donner des conseils ? Mais qui es tu pour m'en donner ? Qui est cet Aktar qui prétend m'en donner ? Un gendarme qui, depuis qu'il est bleu bite veux ma mort, mais après ?
Cette lettre est ouverte et non exhaustive,
Je te la laisse.
Olrik Corleone,
Consigliere des Corleones,
PDG de la SRT du Kub, de la GT&M et mécène de la MLD.
Juge Suprême de Chalkeia
Ex-de la gendarmerie
Toi que j'ai respecté et soutenue,
Toi pour qui j'étais près à faire souffrir mon égo pour te garantir sécurité et prospérité,
Permet moi de te dire que tu es une salope. Tu m'en pardonnera l'expression.
Cela va maintenant faire deux fois que tu m'accuse à tort. Une première fois pour mon nom de famille. Je t'ais pardonné. Mais maintenant une seconde fois simplement parce que mon prénom est évoqué dans une réunion, alors que je n'apparais pas dans le champs de la caméra. J'étais en civil. Comme toujours. Car je suis leur avocat. Et il est normal que l'avocat parle. Mais j'imagine que c'était facile de me confondre avec Cetelem afin de faire le rapprochement avec tous ceux qui prennent ce déguisement.
Vais-je te pardonner aujourd'hui ? Alors même qu'on dit "jamais deux sans trois " ?
Non contente de soutenir un candidat despot, tu t'empresses de faire des amalgames, jouant sur les hazards de la vie.
Oui, je suis déçu.
Certes, je ne m'attendais pas à ce que tu me laisses en paix. Ça non. Tu m'as dans le colimateur depuis bien trop de mois. Mais je m'attendais à une attaque propre, frontale et dénudée de fourberie.
Mais où est donc passé le temps où j'embarquais sur les bancs de mon helico aux côtés de Dimitri Raskalov, gradé de la gendarmerie, pour patrouiller avec l'accord de ses supérieurs ? Le temps où, quand nous venions figer une scène en attendant votre arrivée, vous ne serriez la main, avec un regard reconnaissant, sous les hourra des civils ?
Je suis peut être mégalo, mais toi, ma gendarmerie, tu ne l'assumes pas. Tu veux toujours tout contrôler. Et pourtant, il a fallut que quelqun crie sur une radio pour que vous daigniez patrouiller à Pyrgos.
On aurais pu bosser main dans la main avec l'AAS d'un côté et la gendarmerie de l'autre. On demandais rien en échange sinon le droit de circuler en armes. Tant pis pour vous.
Si nous étions mariés je demanderais le divorce. Mais puisque nous sommes voisins, j'irais chier sur ton paillasson, excuse ma vulgarité.
Un de tes gars a-t-il jamais eu les balls de me convoquer chez toi ? Non. Tu me crains pas vrai ? Encore une fois je ne demandais rien par rapport à ce que je t'aurai apporté.
La suite ? Me priver de mes entreprises qui fournissent du taff et des sous à toute l'île ? Non. Tu ne pourras pas. Enfin si, tu pourras, en manipulant la loi et les preuves. Mais de ce côté là, tout est clean. Et tu le sais puisque tu a beaucoup enquêté, notemment sur le SRT. Et tu sais donc qu'elle ne m'a jamais rapporté ne serais - ce qu'un dixième que ce qu'elle m'a coûté. Je suis un bienfaiteur, un mécène. Mais je te vole la vedette pas vrai ?
Malgré les crimes qui s'y déroulent, j'aime ma Chalkeia. Plus que toi. Tu es jalouse ? C'est un enjeux énorme et splendide pour moi que t'y travailler. L'enquête sur les assassinats avancerait plus vite si la vidéo des reporters nous était communiqué. Mais toi, en petite garce, tu la garde pour toi, et m'accuse de ne pas avancer. Rétention d'information et obstruction à la justice non ?
Ressaisie toi ma grande. C'est pour ton bien !
Qui suis je pour te donner des conseils ? Mais qui es tu pour m'en donner ? Qui est cet Aktar qui prétend m'en donner ? Un gendarme qui, depuis qu'il est bleu bite veux ma mort, mais après ?
Cette lettre est ouverte et non exhaustive,
Je te la laisse.
Olrik Corleone,
Consigliere des Corleones,
PDG de la SRT du Kub, de la GT&M et mécène de la MLD.
Juge Suprême de Chalkeia
Ex-de la gendarmerie