Organisme criminel Journal de Bord: La Meute.

Komar LaSmala

Citoyen d'Altis
  Membre
Vétéran d'Agorapolis
20 Déc. 2014
9
22
50
23/12/2020
Il était environ 17 heures quand La Meute partit rendre visite à leur contacte, un vendeur d'armes. Une fois les membes équipés d'un 5.56 automatique, ils prirent la décision de visiter les terres de l'ouest car certains n'en avaient jamais frôlé le sol. Mais avant ça, ils passèrent voir s'il y avait de l'activité vers le tailleur de Diamant, dans un but pacifique, il n'est en aucun cas question d'ôter la vie de civils innocents. Lorsque le convoi de la Meute arriva à destination, un bruit disgracieux se fît entendre. Lesniewski dit alors " Boldel de melde, un putain d'hélico là haut " , Henac sortit alors ses jumelles " Les gars, voila les flics".
On comprit alors qu'il était inutile de s'éterniser, le temps de saluer les travailleurs présents sur place, et l'on partit afin d'éviter une boucherie. La Meute prit la direction de l'Ouest dans la poursuite de l'objectif premier. Malheureusement, le gouvernement nous contraignait à passer par le poste douanier avec leur frontière de malheur, cela aurai pu ne pas être un problème s'il était comme à son habitude vide. Ce ne fût bien évidemment pas le cas. Les Forces de l'ordre avaient visiblement eut peur de notre visite au traitement de diamant, et avaient assigné une patrouille à la frontière. On tomba alors nez à nez avec la gendarmerie, Kaïta s'avança puis entama une discussion, arme dans le dos:
-kaita: Bonjour monsieur, on ne veut aucun problème -

-Le Gendarme, d'une voix hésitante : les mains en l'air, rendez vous!

-kaita: J'espère que vous ne croyez pas à ce que vous dîtes, La meute n'a pas pour habitude de se plier aux volontés de qui que soit, et encore moins aux gendarmettes que vous êtes. Maintenant, je vais vous expliquer ce qu'on va faire messieurs: Je vais retourner à mon véhicule, un camarade va le réparer et nous repartirons d' où l'on vient et ce, sans échanger le moindre coup de feu. A moins que vous souhaitiez ramasser les morceaux du cadavre de vos collègues. Si vous m'écoutez, il y aura aucun mort , chacun d'entre nous reverra sa femme et ses enfants.

-Le Gendarme: Ne bougez pas, j'en fait la requête auprès de mes supérieurs. Il part demander l'autorisation à ses supérieurs puis, revient. Négatif, vous n'irez nulle part messieurs, des renforts arrivent, rendez vous ou mourrez.

-Kaïta : Dernier avertissement je repars vers mon véhicule, si vous nous menacez ou ouvrez le feu sur nous, on sera contraint de répliquer.

-Le Gendarme, s'adressant à Kaïta depuis la tour dans laquelle il s'était réfugié: Si vous rentrez dans ce véhicule, j'abat toutes personnes de votre groupe et autant vous dire messieurs que c'est pas moi qui souffrira le plus.

-Kaïta d'une voix ferme, hurla : Feu !
Trois d'entre eux décédèrent et le survivant n'ai pour souvenir de cette fusillade, que le bandeau de la Meute, Noir décorés de crocs blancs.
 
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Komar LaSmala

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Molos, 17/01

9 , le nombres de loups présents sur l'opération.
Il s'agissait de prendre une fois pour toute la ville de Molos, la gendarmerie, malgré les menaces s'obstinait à occuper les lieux. Le but était donc de se faire entendre une fois pour toute, il fallait supprimer tout agent des forces de l'ordre présents sur zone, libérer la ville de ses oppresseurs.
On s'était tous réunis près d'un camp de trafiquants d'armes pour savoir comment nous allions procéder:

Kaïta: Messieurs, aujourd'hui nous écrivons un moment charnière de notre histoire, va falloir être efficaces.
Imaginez une vie sans se faire emmerder par les condés. Ça vous tenterai pas vous?

Tout le monde acquiesça, des murmures suivirent.

Henac: OH BORDEL ouais, la belle vie patron.

Lesniewski: On va mettre quelques genoux à terre Aujourd'hui, ça me plait.

Kaïta: Bon, on est OK pour les groupes? Montez dans vos hélicos messieurs.

J'étais personnellement en binôme avec mon camarade Sergey, notre objectif était de contourner les ennemiss
On était tous stressés au fur et à mesure que l'on progressait.
On a tous déjà connu le sentiment que procure la perte d'un proche. Personne ne voulait être l'homme que l'on irai pleurer sur sa tombe.
Serguey et moi continuions notre avancée dans le bois, à l'est de Molos quand soudain:

"Crsshhhhh, les gars j'en ai eu un, au moins il ne nous emmerdera plus celui ci. Crsssshhhhhhhh"
Nous annonça Lucas, à la radio.

Il était difficile de cacher notre joie mais il fallait rester les plus discrets et concentrés possible pour ne pas compromettre le succès de l'opération.
Au fur et à mesure on déclarait les blessés et morts de chaque côté, on prenait l'avantage. On se rejoignit tous dans un coin un peu excentré de Molos pour tenir compte de la situation. On se comptait alors:
Lesniewski, Paul, Serguey, Popovitch, et moi Komar.
Faut pas avoir fait 5 ans d'études pour comprendre qu'on avait laissé 4 d'entre nous au sol.
Il fallait trouver une solution rapidement, nos faibles connaissances en secourisme ne nous auraient pas permis de sauver nos frères d'arme.Alors on décidait de ratisser progressivement la zone puis, soudain, en entendit des cris "ALLEZ ON SE GROUILLE ON A PAS L'TEMPS" suivis d'un bruit de détonation.
Puis, un nuage bleu provenant du sol s'épaissit, hélicoptère de la gendarmerie se fît entendre lui aussi, embarquant avec lui les derniers agents en état de marcher. Lorsqu'il vit Sergey, avide de sang, prononça ces mots: " On tire les gars, il faut leur laisser un dernier souvenir de cette nuit! "

On crû d'abord à un piège, un leurre on restait alors sur nos gardes pendant une dizaine de minutes, jusqu'à ce que l'on découvrit avec fierté le titre du dernier flash information "Molos est tombée".
On se dépêcha d'emmener nos frères, gravement blessés jusqu'à l'hôpital de Sofia, où le Docteur Remot prit en charge tout le groupe.
À notre arrivée, lorsqu'il vît les bandanas Fauve, il se permit une blague, qui dans ces circonstances ne fît rire que lui: " Pour la meute, vous auriez du consulter un vétérinaire. "
À la fin des soins, Lesniewski, d'un naturel nerveux, refroidi le Docteur Remot. "Sous ses airs de pervers grassouillet, se cachait un clown refoulé".
Il fît vite remplacé par un jeune médecin, plus...professionnel disons, Docteur Dikmé.

Maintenant que tous les gars étaient capables de se déplacer, on prit en charge un nettoyage complet des rues de Molos.
À savoir: Mise au feu des biens appartenant au gouvernement, Ramassage des cadavres de gendarmes et un arrachage de toute affiche concernant la Politique, qu'est ce qu'on aime pas ça bordel.
 
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