23/12/2020
Il était environ 17 heures quand La Meute partit rendre visite à leur contacte, un vendeur d'armes. Une fois les membes équipés d'un 5.56 automatique, ils prirent la décision de visiter les terres de l'ouest car certains n'en avaient jamais frôlé le sol. Mais avant ça, ils passèrent voir s'il y avait de l'activité vers le tailleur de Diamant, dans un but pacifique, il n'est en aucun cas question d'ôter la vie de civils innocents. Lorsque le convoi de la Meute arriva à destination, un bruit disgracieux se fît entendre. Lesniewski dit alors " Boldel de melde, un putain d'hélico là haut " , Henac sortit alors ses jumelles " Les gars, voila les flics".
On comprit alors qu'il était inutile de s'éterniser, le temps de saluer les travailleurs présents sur place, et l'on partit afin d'éviter une boucherie. La Meute prit la direction de l'Ouest dans la poursuite de l'objectif premier. Malheureusement, le gouvernement nous contraignait à passer par le poste douanier avec leur frontière de malheur, cela aurai pu ne pas être un problème s'il était comme à son habitude vide. Ce ne fût bien évidemment pas le cas. Les Forces de l'ordre avaient visiblement eut peur de notre visite au traitement de diamant, et avaient assigné une patrouille à la frontière. On tomba alors nez à nez avec la gendarmerie, Kaïta s'avança puis entama une discussion, arme dans le dos:
-kaita: Bonjour monsieur, on ne veut aucun problème -
-Le Gendarme, d'une voix hésitante : les mains en l'air, rendez vous!
-kaita: J'espère que vous ne croyez pas à ce que vous dîtes, La meute n'a pas pour habitude de se plier aux volontés de qui que soit, et encore moins aux gendarmettes que vous êtes. Maintenant, je vais vous expliquer ce qu'on va faire messieurs: Je vais retourner à mon véhicule, un camarade va le réparer et nous repartirons d' où l'on vient et ce, sans échanger le moindre coup de feu. A moins que vous souhaitiez ramasser les morceaux du cadavre de vos collègues. Si vous m'écoutez, il y aura aucun mort , chacun d'entre nous reverra sa femme et ses enfants.
-Le Gendarme: Ne bougez pas, j'en fait la requête auprès de mes supérieurs. Il part demander l'autorisation à ses supérieurs puis, revient. Négatif, vous n'irez nulle part messieurs, des renforts arrivent, rendez vous ou mourrez.
-Kaïta : Dernier avertissement je repars vers mon véhicule, si vous nous menacez ou ouvrez le feu sur nous, on sera contraint de répliquer.
-Le Gendarme, s'adressant à Kaïta depuis la tour dans laquelle il s'était réfugié: Si vous rentrez dans ce véhicule, j'abat toutes personnes de votre groupe et autant vous dire messieurs que c'est pas moi qui souffrira le plus.
-Kaïta d'une voix ferme, hurla : Feu !
Trois d'entre eux décédèrent et le survivant n'ai pour souvenir de cette fusillade, que le bandeau de la Meute, Noir décorés de crocs blancs.
Il était environ 17 heures quand La Meute partit rendre visite à leur contacte, un vendeur d'armes. Une fois les membes équipés d'un 5.56 automatique, ils prirent la décision de visiter les terres de l'ouest car certains n'en avaient jamais frôlé le sol. Mais avant ça, ils passèrent voir s'il y avait de l'activité vers le tailleur de Diamant, dans un but pacifique, il n'est en aucun cas question d'ôter la vie de civils innocents. Lorsque le convoi de la Meute arriva à destination, un bruit disgracieux se fît entendre. Lesniewski dit alors " Boldel de melde, un putain d'hélico là haut " , Henac sortit alors ses jumelles " Les gars, voila les flics".
On comprit alors qu'il était inutile de s'éterniser, le temps de saluer les travailleurs présents sur place, et l'on partit afin d'éviter une boucherie. La Meute prit la direction de l'Ouest dans la poursuite de l'objectif premier. Malheureusement, le gouvernement nous contraignait à passer par le poste douanier avec leur frontière de malheur, cela aurai pu ne pas être un problème s'il était comme à son habitude vide. Ce ne fût bien évidemment pas le cas. Les Forces de l'ordre avaient visiblement eut peur de notre visite au traitement de diamant, et avaient assigné une patrouille à la frontière. On tomba alors nez à nez avec la gendarmerie, Kaïta s'avança puis entama une discussion, arme dans le dos:
-kaita: Bonjour monsieur, on ne veut aucun problème -
-Le Gendarme, d'une voix hésitante : les mains en l'air, rendez vous!
-kaita: J'espère que vous ne croyez pas à ce que vous dîtes, La meute n'a pas pour habitude de se plier aux volontés de qui que soit, et encore moins aux gendarmettes que vous êtes. Maintenant, je vais vous expliquer ce qu'on va faire messieurs: Je vais retourner à mon véhicule, un camarade va le réparer et nous repartirons d' où l'on vient et ce, sans échanger le moindre coup de feu. A moins que vous souhaitiez ramasser les morceaux du cadavre de vos collègues. Si vous m'écoutez, il y aura aucun mort , chacun d'entre nous reverra sa femme et ses enfants.
-Le Gendarme: Ne bougez pas, j'en fait la requête auprès de mes supérieurs. Il part demander l'autorisation à ses supérieurs puis, revient. Négatif, vous n'irez nulle part messieurs, des renforts arrivent, rendez vous ou mourrez.
-Kaïta : Dernier avertissement je repars vers mon véhicule, si vous nous menacez ou ouvrez le feu sur nous, on sera contraint de répliquer.
-Le Gendarme, s'adressant à Kaïta depuis la tour dans laquelle il s'était réfugié: Si vous rentrez dans ce véhicule, j'abat toutes personnes de votre groupe et autant vous dire messieurs que c'est pas moi qui souffrira le plus.
-Kaïta d'une voix ferme, hurla : Feu !
Trois d'entre eux décédèrent et le survivant n'ai pour souvenir de cette fusillade, que le bandeau de la Meute, Noir décorés de crocs blancs.
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