Journal de bord James Piltover

Félicité Ngalawé

Citoyen d'Altis
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23 Mars 2017
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Voilà 1 mois que je suis sur l'île et j'ai enfin décider de te sortir de mon sac...


Je suis arrivé en bateau sur Altis, j'ai eu du mal m'acclimater à cette île... En effet, ça change de Paris. Durant les premiers jours j'ai travaillé dur pour pouvoir m'acheter une première maison. Je travaillais presque exclusivement dans le sel et le diamant, c'était fini les trafics de drogue! J'étais ici pour recommencer une nouvelle vie...

Une semaine après mon arrivé je possèdais déjà une charmante maison et un camion. Tout ce déroulait pour le mieux, j'avais beaucoup de contact et beaucoup d'amis!

Sauf qu'un jour, alors que je faisais un trajet de sel, une voiture remplies de 4 rebelles me coupent la route. Ils me font descendre et me contrôle. Je ne savais pas qui c'était, mais vu la taille de leurs calibres, je n'avais d'autres choix que de me plier à leurs demandes. Leur chef, un homme qui se faisait appelé le Niac, m'a passé une seringue en guise de bienvenue sur le canton de Sofia. Je savais très bien ce que c'était, et même si je m'étais promis de plus toucher à ça, il m'a forcé à me piquer devant lui et à reprendre ma route jusqu'au traitement de sel. Jamais une drogue ne m'avait mit dans un état pareil! C'était de la bonne!

Quelques jours plus tard, j'étais entrain de trembler, je ne pensais plus qu'à sa saloperie de seringue, je tremblais et ne savait plus me concentrer sur autre chose que ça! Je suis donc retourné à Sofia, et j'ai retrouvé le Niac. Je lui ai dit ce que je voulais et il m'a répondu " Da, si toi ramener info sur d'autre groupe pour moi, moi te donner seringue ".

Le lendemain j'étais déjà sur le champs de cocaïne avec un deux hommes d'un groupe nommé " le Syndicat ". Durant cette immersion dans les autres groupes j'ai récolté beaucoup d'héroïne de la part de Niac. Je suis redevenu complètement dépendant à cette saloperie.

Un jour Niac m'a proposé de rejoindre son groupe, le " RFE ". A l'heure d'aujourd'hui je suis toujours dedans.

Je te raconterai la suite une prochaine fois.
 
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