Journal de bord [Hippolyte CORLEONE]

[Hippolyte Mordoch]

C'est ici que débute mon journal de bord, dans lequel seront recensées nombre des actions effectuées par mes collègues et moi-même.
NB: Aucun élément présent dans ce journal ne pourra être utilisé dans un but RP.

Journal d'Hippolyte CORLEONE​

29/05

Premier jour dans ma nouvelle peau, une peau de "hors-la-loi", de Gangster, comme on aime les appeler. Mon uniforme de Gendarme quitté, une branche de la famille Corleone m'a ouvert les bras. J'y retrouve d'ailleurs avec grande surprise un ancien collègue, Peter Johnson. Un plaisir de voir une tête qui m'est familière parmi tant de visages inconnus, cachés par leurs cagoules. J'appris donc à faire connaissance avec ces individus, rien de spécial ne se passa dans la journée, hormis une formation des nouvelles recrues, familiarisant ainsi les plus novices sur le terrain.
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30/05

12h // Réveil difficile suite à une lourde cargaison de diamants effectuée tard dans la nuit. Voila deux journées que j'ai quitté la dite "famille" qu'est la Gendarmerie. Bizarrement, l'ambiance générale du commissariat, les claquements de portes de bureaux ne me manquent guère...

Un bon café absorbé, chassant les pensées troubles de la nuit, j'enfile donc mes habits et rejoins les forces FSC.

12h30 // Un regroupement s'effectue au centre-ville de Pyrgos. Nous décidons d'attaquer la ville de Sofia, ville sous le joug d'une population russe. Ma première opération au sein de ma nouvelle famille fut un succès mitigé. Trois de nos cinq hommes ont dû être transférés à l’hôpital le plus proche, suite à de nombreux tirs reçus. Le risque grandissant, mon dernier collègue valide et moi-même avons décidé de nous replier, après avoir abattu nombre d'hommes.

23h // Après une après-midi reposante, Josh Corleone -frère d'armes- et moi-même, après avoir entendu parler d'un braquage de banque, nous rendons sur les lieux, notre but étant d'empêcher les braqueurs de mener leur affaire. Arrivée fracassante en hélicoptère à une centaine de mètres de la banque, un véhicule blindé type HUNTER de Gendarmerie nous a gracieusement invité à nous rendre (ou pas). Mon collègue finit dans le coma et moi-même, au bord de l’épilepsie suite au coup de taser reçu, ai fini ma soirée dans les locaux de Gendarmerie. Quelle étrangeté que de se retrouver de l'autre côté des barreaux.


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[Hippolyte Mordoch]

31/05

Une journée bien calme. J'ai profité qu'il fasse frais pour aller récolter et traiter quelques feuilles de coca, puis les déposer chez moi, en attente qu'elles sèchent. Pourvu que les Gendarmes ne patrouillent pas près de chez moi... ​

 

[Hippolyte Mordoch]

05/06

Au crépuscule de ce jour, le peuple d'Altis encore endormi, petit nombre de mes frères d'armes Corleone; FSC et moi avons entrepris le braquage de la banque fédérale, en sortie de Kavala. Malheureusement pour nous, au nombre de 5 et peu organisés, nous avons dû affronter des forces de gendarmerie bien supérieures tant en nombre qu'en efficacité. Tout se passait bien, je pris en charge le crochetage de la serrure, la mise en place et la détonation des explosifs.

Le compte-à-rebours pris fin, je me dirigeais vers l'unique coffre chargé de lingots, quand soudain, des sirènes se firent entendre au loin. Un hélicoptère se posa alors à l'arrière de la banque, les forces de Gendarmerie pénétrèrent les bâtiments voisins à la banque, afin d'en déloger mes camarades. Vînt mon tour: une balle dans le thorax m'immobilisa, je fût transféré d'urgence à l’hôpital, dans un état critique.

Et c'est ainsi que s'achèvent les déboires d'un braqueur novice en la matière.

http://2015-06-05_00001​

 

[Hippolyte Mordoch]

09/06

3-4 jours que je n'ai pas écrit dans mon journal... Chaque journée ne peut être passionnante...
Cela fait quelques jours que je suis assez pris... Olrik Corleone, Stefan Rob, Vito Carreto, Roger Flint et moi-même montons une entreprise pétrolière, la BHP. J'en serai gérant de la sécurité, avec mon camarade Vito.
Tout ce côté administratif a la don de m'agacer... Lire, lire, lire, signer, lire, signer, ... Vivement que cela se termine et que l'on ouvre nos portes. Nous avons le soutien du maire de Pyrgos, Mr Velucci, un homme formidable et très chaleureux. Enfin un politique digne de ce nom.

Je ne vais pas m'attarder plus longtemps... Je dois retrouver Mr Okyan pour qu'il nous donne les clés de son établissement, la SRT, car oui, nous fusionnons et intégrons leurs locaux.​

 

[Hippolyte Mordoch]

15/06

Je repensais cette nuit au braquage de banque effectuée la veille... Un butin bien facilement amassé... Je m'empresserai d'aller remercier les gendarmes de ne pas avoir refermé le coffre... L'incompétence règne.

Aujourd'hui, le commerce étant florissant, je me suis permis de refaire un stock d'armes, entreposé à ma maison. Si les gendarmes savaient ça... Je les accueillerai comme il se doit !
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[Hippolyte Mordoch]

25/06

Aujourd'hui, journée pour le moins mouvementée... Tôt dans la matinée, quelques amis et moi avons entrepris ce qu'on appelle un "Tour du monde". Cela consiste à faire toutes les ressources illégales de l'île dans un même ordre. Cependant, arrivés à la Marijuana, les gendarmes nous ont eu... 418 000 euros d'amende, ça fait mal... Tant pis, je me renflouerai plus tard.

Plus tard, dans la journée, une prise d'otage a lieu sur notre belle ville de Pyrgos, les brigands se sont basés sur la plateforme pétrolière, en pleine mer. Nous n'avons pu intervenir au vue de la puissance de feu des gendarmes. Néanmoins, ayant reçu un appel d'un ami se faisant braquer sur Athira, nous avons réussi à intercepter un véhicule. A bord, une personne étrange, après lui avoir quelques peu tiré les vers du nez, nous apprîmes que cet individu était nommé Joe Pescini, dit Mesrine... Ce nom me disait quelque chose. C'est bien cela, le frère de Mesrine Lacrim, un dépiquant, les pires de son espèce. Après avoir menotté Joe, nous l'emmenâmes au QG de Gendarmerie, pour qu'il réponde de ses actes auprès des individus à même de le faire parler. C'était soit une balle entre les deux yeux, soit ça. Nous n'avons donc pas opté pour la violence. A raison.

Suite à quoi, mes frères, travailleurs et moi-même décidons de faire une petite course de Kart sur l'île. Je finirais d'écrire cette page assis dans mon lit d'hôpital, les deux jambes plâtrées, suite à l'accident de Karting causé par mon cher ami Lucky Corleone... ​