LA PURGE
Bonjour,
Cela fait un moment que je n'avais pas respiré l'air frais d'Altis et je suis prêt pour faire mon retour.
Pendant plus de deux années consécutives, moi et mes proches étions de séjour au sud de l'Italie pour des raisons familiales et pour régler quelque problèmes.
Peut de temps après que la Nonna soit partie rejoindre les anges, j'ai reçu une cassette vidéo. Luca mon propre cousin, filmé sous la torture d'un groupe de mercenaire qui se proclament ennemis des Corleones, Les Polpettini. Ils voulaient qu'on leur livre mon père, le Parrain en personne.
Dans un calme des plus intenses Tony Corleone n'a pas été touché par cette menace, tout paniqué à l'idée de voir mon propre cousin mort je lui ai demandé:
"On devrait rappeler tout les Corleone pour les buter!"
Le parrain se leva, mit son costard et pris le revolver de son père qui était sous la table du salon. Il marcha vers la sortie et quand il se retourna il me dit;
"Qu'est ce que tu attends, fils? Prend ton arme"
Il s'agissait d'un plan simple mais efficace, aller trouver les Polpettini. Nos petits oisillons nous ont vite permis d'avoir des informations sur eux, nous sommes alors partis aussitôt.
Sur le chemin mon père et moi avons parler des anciennes affaires de l'ile d'Altis, et il me disait a quel point il devenait urgent que moi et la famille y retournons.
A peine arrivé, il s'est présenté face aux gardes, de sang froid, il fut directement entouré de 3 personnes armées et le chef des mercenaires, un certain John.
Avant même que ce John ai le temps de l'ouvrir, les 3 mercenaires gisaient au sol et mon père lui mit le revolver dans le cou et lui dit;
"Je pense que vous savez pourquoi je me donne la peine de venir."
Il nous a amené à mon cousin qui était plein de coup, nous l'avons détaché et c'est Luca lui même qui a tiré la dernière balle.
En sortant moi et mon père tenions mon cousin pour l'aider à marcher. Une erreur d'inattention nous a coûté une embuscade a la sortie et avant que nous nous sortions d'affaire, le parrain fut gravement blessé par balle.
Sur son lit d'hôpital, Tony m'a fait part de quelque chose :
"Je te l'ai déjà dit Anthony, mais aucun Corleone ne représentera mieux la famille que toi. Tu es l'héritier et tu dois défendre mes idéaux, nos idéaux..."
En temps que héritier principal je doit donc prendre toutes les décisions importantes. La première sera celle que mon père ma demandé ;
"Exclu ceux qui nous causent du tord, garde près de toi seul ceux qui seront fidèles quoi qu'il arrive."
Je prend donc la décision de partir pour l'île d'Altis et de reprendre les rênes.
Quiconque n'auras pas l'étoffe d'un Corleone ne se verra plus arborer nos couleurs, ceux qui l'ont et qui me prouvent leur volonté rejoindront les rangs et seront traités comme il se doit.
Baccioni
Anthony Corleone, héritier du Parrain