Soucieux de rétablir l'ordre sur le territoire et de suivre la dynamique gouvernementale, le Président O' Neil mit en place un gouvernement constitué de personnalités fortes et influentes de l'île. Ce dernier, réformiste, appliqua en grande partie le programme électoral du candidat du Parti Indépendantiste Altos.
La plus grande surprise survient lors de la nomination d'Antho Nouar et de James Jarosz aux postes de ministres, deux personnalités importantes - l'un ex-général, l'autre ancien leader de la révolution - font leur retour sur le devant de la scène politique en accédant aux hautes sphères du pouvoir.
Ce plan n'est pas mis à exécution, tant la nation est agitée : en effet, l'Escadron Soviétique, groupuscule terroriste et anarchiste, (ré)apparaît et déclenche une série d'attentats sur la capitale et contre les institutions garantes de la République.
Les États-Unis, par le biais de leur ambassade, s'étant déjà faite remarquée pour des ingérences dans les élections présidentielles, s'activent et s'allient à la Cité-État de Néochori pour mettre sous pression le gouvernement et le menacent d'intervention militaire. Malgré l'assassinat de l'ambassadeur et de ses collaborateurs, l'on observe un retour au calme progressif, l'influence américaine sur la petite île méditerranéenne s'efface, bien que les relations bilatérales entre Altis et Néochori se dégradent jusqu'au déclenchement d'un conflit diplomatique.
La dernière crise sera celle de trop pour O Neil : après l'assassinat de son ministre R. Brooks par le groupuscule terroriste R.F.E, dont le chef s'était évadé de prison durant le mandat, il présente officiellement sa démission au peuple et laisse son Premier Ministre J. Stark assurer la transition.
Pour autant, une reprise économique est observée. De nombreuses entreprises, notamment industrielles, se créent et prospèrent. L'économie altos repart de plus belle, et une dynamique de croissance réapparaît.
De nouvelles tensions apparaissent lorsque la Gendarmerie Nationale, par le biais de son Pôle Communication et de la Police Judiciaire, lance des avis de recherches à l'encontre de certaines personnalités aux activités illégales.
En marge, des groupuscules rebelles s'affirment en profitant du cataclysme et du désordre social, et des revendications séparatistes apparaissent d'un nouveau canton "autosuffisant" avec pour capitale Zaros, aux mains des rebelles, notamment émises par la Milice sans Visage et un groupe proche, la Légion des Forces Indépendantes.
Marie-Elise de la Touche, aristocrate et historique propriétaire de la AriSteel, accède au pouvoir sous les couleurs tâchées de conflits de l'U.R.A. Cependant, son pouvoir et son autorité sont rapidement contestés par une partie plus ou moins expressive du peuple, lassée des affaires et des inactions des précédents gouvernements successifs. Le processus de réforme et de législation est au point mort bien que le gouvernement insiste tant bien que mal pour remettre en marche une dynamique.
Paul Desclaux, Général de la Gendarmerie, ayant fondé son parti politique identitaire, patriote et classé à l'extrême droite, le Nouveau Parti Nationaliste, profite de la situation et devient la figure emblématique de l'opposition. Le mouvement prend de l'ampleur et s'oppose avec acharnement, sur le plan politique et au sein même de la Gendarmerie, aux réformes et à la politique menées par le gouvernement De la Touche-Garcia.
La première victoire politique du NPN a lieu lors des élections municipales, où ses candidats gagnent sans contestation les mairies de Sofia et de Kavala.
Le mouvement, sur une bonne dynamique, subit cependant des menaces de la part des différents groupuscules rebelles. Elles sont mises à exécution lors d'une manifestation du Nouveau Parti Nationaliste. Un attentat à la grenade et aux explosifs est organisé, et la stupéfaction est totale lorsque le nom de Max Bonchance, ancien cadre de l'URA, proche de la Présidente et maire de Kavala, est évoqué comme cerveau de l'attentat.
Malgré la contestation, P. Desclaux ne renonce pas et noue des liens secrets et contestés avec le Cartel Peli, groupe rebelle occupant Panagia et ses alentours et l'ayant transformé en ville mère et plaque tournante d'un commerce de cocaïne, pour préparer les élections présidentielles.
Conforté dans son choix, il décide ainsi de démissionner de la Gendarmerie Nationale, laissant son grade de Général, et se déclare officiellement candidat à l'élection présidentielle. Il concrétise son engagement en remportant cette élection avec près de 60% des suffrages et s'impose comme un dirigeant fort et réformiste.
Il s'entoure d'un gouvernement constitué de ses plus fidèles collaborateurs (J. Durmaz, A. Walker notamment) et entame des projets afin de renforcer ses pouvoirs.
Le 1er mars 2024, il lance un "Appel au peuple" par le biais d'un proclamation, en lui demandant de lui accorder la possibilité d'abroger la Constitution et d'en mettre en place une nouvelle, plus proche du peuple. C'est également une occasion de tacler l'idéologie socialiste naissante incarnée par le Front Populaire et qui se dresse face au Nouveau Parti Nationaliste. En réalité, il s'agit d'une tentative vaine de s'accaparer un pouvoir plus puissant, puisque le plébiscite lui donne tort, le peuple rejetant à 60% sa proposition.
Suite aux résultats, son autorité est contestée et le Front Populaire demande la cohabitation ou la démission du Président. P. Desclaux refuse et annonce qu'il ira jusqu'à la fin de son mandat.
Dans le même temps, l'île sombre dans une guerre civile entre les groupuscules rebelles de l'île : la montée des tensions entre la Milice sans Visage et le Cartel Peli amène à la création de jeux d'alliances. Les deux camps se livrent à un conflit sanglant durant plusieurs semaines, de Zaros à Panagia explosions et coups de feu deviennent le quotidien des citoyens : une guerre d'anéantissement en soit. Les Tarkans, groupe rebelle religieux, est en première ligne du conflit barbare et subit de nombreux assauts.
De l'autre côté des frontières, Néochori termine sa longue descente aux enfers. Après la disparition d'Étienne Jäger, dirigeant emblématique de la Cité-État indépendante, les différents gouvernements se succèdent mais aucun n'arrivent à la stabiliser et à lui faire retrouver la place qu'elle convoitait.
De plus, les différents incidents diplomatiques, provoquées par une certaine insistance et d'un climat menaçant créés par Altis, viennent fragiliser les relations bilatérales. Suite à la reddition de Néochori ainsi que l'exil de son gouvernement et de ses diplomates, Altis décide d'annexer Néochori et de mettre définitivement fin à l'indépendance.
D'autre part, certaines religions et certains cultes se développent et s'étendent. Les populations louent peu à peu des divinités nouvelles. La déesse Tarkanas convainc progressivement les cœurs et les esprits à l'Est, tandis qu'à l'Ouest la communauté de l'Arche, menée par la fratrie Montgomery, se développe. Ainsi, Est et Ouest entrent dans une rupture religieuse fragilisante..
Alors que tout semblait revenir à un calme relatif, celui de la préparation des prochaines échéances présidentielles, la Résistance, groupe de terreur, apparaît et entame une série de démonstrations et d'attentats, visant les gendarmes et les civils. Les réactions sont nombreuses : Paul Desclaux et son Premier Ministre Angelo Mc. Walker décident de démonstrations militaires et de mesures de sécurisation du territoire de Zaros-Poliakko-Thérisa pour contrer la menace. Un "rideau de fer" s'installe, et à tout moment, un nouveau conflit plus meurtrier encore peut éclater.
Comme toute fin de chapitre, vient le temps des questions : qui accédera au pouvoir après le Nouveau Parti Nationaliste, et dans quel but ? Combien de temps encore Altis sera-t-elle une terre instable, en proie aux groupuscules rebelles, combien de temps encore Altis sera-t-elle la terre d'une guerre civile constante ?
edit : 10 06 / 15h
La plus grande surprise survient lors de la nomination d'Antho Nouar et de James Jarosz aux postes de ministres, deux personnalités importantes - l'un ex-général, l'autre ancien leader de la révolution - font leur retour sur le devant de la scène politique en accédant aux hautes sphères du pouvoir.
Pour autant, malgré la recherche d'une stabilité au sein même de son Gouvernement J. O Neil doit faire face à de nombreuses crises politiques : d'abord, un complot est organisé malgré lui par ceux qu'ils considèrent être ses plus fidèles : Rick Brooks et Johannes Stark mettent en place, en secret, le plan Némésis pour l'écarter du pouvoir et refonder un régime autoritaire.Ce plan n'est pas mis à exécution, tant la nation est agitée : en effet, l'Escadron Soviétique, groupuscule terroriste et anarchiste, (ré)apparaît et déclenche une série d'attentats sur la capitale et contre les institutions garantes de la République.
Les États-Unis, par le biais de leur ambassade, s'étant déjà faite remarquée pour des ingérences dans les élections présidentielles, s'activent et s'allient à la Cité-État de Néochori pour mettre sous pression le gouvernement et le menacent d'intervention militaire. Malgré l'assassinat de l'ambassadeur et de ses collaborateurs, l'on observe un retour au calme progressif, l'influence américaine sur la petite île méditerranéenne s'efface, bien que les relations bilatérales entre Altis et Néochori se dégradent jusqu'au déclenchement d'un conflit diplomatique.
La dernière crise sera celle de trop pour O Neil : après l'assassinat de son ministre R. Brooks par le groupuscule terroriste R.F.E, dont le chef s'était évadé de prison durant le mandat, il présente officiellement sa démission au peuple et laisse son Premier Ministre J. Stark assurer la transition.
"Je décide ce jour de me retirer de mon poste de Président et j'espère qu'Altis pourra un jour vivre la paix et non la terreur sous le joug des familles rebelles" 12/08/23
Dans ce climat anxiogène, des élections présidentielles anticipées sont organisées en août 2023 et amènent le seul projet, celui de l'U.R.A, à la tête d'Altis. Les personnalités qui le forment sont trahies par des ambitions divergentes, et Stéphane Knab fait arrêter de manière illégale un de ses proches ministres. La justice lui donne tort et le décrédibilise. Le séisme politique est total : le Procureur de la République ouvre publiquement une instruction contre le Président de la République, en l'accusant de coup d'état, d'assassinats ou encore de corruption. Il est poussé vers la sortie par des organisations internationales seulement dix jours après sa prise de poste, et jugé coupable lors de son procès.
Pour autant, une reprise économique est observée. De nombreuses entreprises, notamment industrielles, se créent et prospèrent. L'économie altos repart de plus belle, et une dynamique de croissance réapparaît.
De nouvelles tensions apparaissent lorsque la Gendarmerie Nationale, par le biais de son Pôle Communication et de la Police Judiciaire, lance des avis de recherches à l'encontre de certaines personnalités aux activités illégales.
En marge, des groupuscules rebelles s'affirment en profitant du cataclysme et du désordre social, et des revendications séparatistes apparaissent d'un nouveau canton "autosuffisant" avec pour capitale Zaros, aux mains des rebelles, notamment émises par la Milice sans Visage et un groupe proche, la Légion des Forces Indépendantes.
Marie-Elise de la Touche, aristocrate et historique propriétaire de la AriSteel, accède au pouvoir sous les couleurs tâchées de conflits de l'U.R.A. Cependant, son pouvoir et son autorité sont rapidement contestés par une partie plus ou moins expressive du peuple, lassée des affaires et des inactions des précédents gouvernements successifs. Le processus de réforme et de législation est au point mort bien que le gouvernement insiste tant bien que mal pour remettre en marche une dynamique.
Paul Desclaux, Général de la Gendarmerie, ayant fondé son parti politique identitaire, patriote et classé à l'extrême droite, le Nouveau Parti Nationaliste, profite de la situation et devient la figure emblématique de l'opposition. Le mouvement prend de l'ampleur et s'oppose avec acharnement, sur le plan politique et au sein même de la Gendarmerie, aux réformes et à la politique menées par le gouvernement De la Touche-Garcia.
La première victoire politique du NPN a lieu lors des élections municipales, où ses candidats gagnent sans contestation les mairies de Sofia et de Kavala.
Le mouvement, sur une bonne dynamique, subit cependant des menaces de la part des différents groupuscules rebelles. Elles sont mises à exécution lors d'une manifestation du Nouveau Parti Nationaliste. Un attentat à la grenade et aux explosifs est organisé, et la stupéfaction est totale lorsque le nom de Max Bonchance, ancien cadre de l'URA, proche de la Présidente et maire de Kavala, est évoqué comme cerveau de l'attentat.
Malgré la contestation, P. Desclaux ne renonce pas et noue des liens secrets et contestés avec le Cartel Peli, groupe rebelle occupant Panagia et ses alentours et l'ayant transformé en ville mère et plaque tournante d'un commerce de cocaïne, pour préparer les élections présidentielles.
Conforté dans son choix, il décide ainsi de démissionner de la Gendarmerie Nationale, laissant son grade de Général, et se déclare officiellement candidat à l'élection présidentielle. Il concrétise son engagement en remportant cette élection avec près de 60% des suffrages et s'impose comme un dirigeant fort et réformiste.
Il s'entoure d'un gouvernement constitué de ses plus fidèles collaborateurs (J. Durmaz, A. Walker notamment) et entame des projets afin de renforcer ses pouvoirs.
Le 1er mars 2024, il lance un "Appel au peuple" par le biais d'un proclamation, en lui demandant de lui accorder la possibilité d'abroger la Constitution et d'en mettre en place une nouvelle, plus proche du peuple. C'est également une occasion de tacler l'idéologie socialiste naissante incarnée par le Front Populaire et qui se dresse face au Nouveau Parti Nationaliste. En réalité, il s'agit d'une tentative vaine de s'accaparer un pouvoir plus puissant, puisque le plébiscite lui donne tort, le peuple rejetant à 60% sa proposition.
Suite aux résultats, son autorité est contestée et le Front Populaire demande la cohabitation ou la démission du Président. P. Desclaux refuse et annonce qu'il ira jusqu'à la fin de son mandat.
Dans le même temps, l'île sombre dans une guerre civile entre les groupuscules rebelles de l'île : la montée des tensions entre la Milice sans Visage et le Cartel Peli amène à la création de jeux d'alliances. Les deux camps se livrent à un conflit sanglant durant plusieurs semaines, de Zaros à Panagia explosions et coups de feu deviennent le quotidien des citoyens : une guerre d'anéantissement en soit. Les Tarkans, groupe rebelle religieux, est en première ligne du conflit barbare et subit de nombreux assauts.
Début mars 2024, une grande et ambitieuse réforme des entreprises est engagée par les instances économiques, après la remise du rapport Keyser. Les statuts des entreprises et leur fonctionnement sont réformés en profondeur.
De l'autre côté des frontières, Néochori termine sa longue descente aux enfers. Après la disparition d'Étienne Jäger, dirigeant emblématique de la Cité-État indépendante, les différents gouvernements se succèdent mais aucun n'arrivent à la stabiliser et à lui faire retrouver la place qu'elle convoitait.
De plus, les différents incidents diplomatiques, provoquées par une certaine insistance et d'un climat menaçant créés par Altis, viennent fragiliser les relations bilatérales. Suite à la reddition de Néochori ainsi que l'exil de son gouvernement et de ses diplomates, Altis décide d'annexer Néochori et de mettre définitivement fin à l'indépendance.
D'autre part, certaines religions et certains cultes se développent et s'étendent. Les populations louent peu à peu des divinités nouvelles. La déesse Tarkanas convainc progressivement les cœurs et les esprits à l'Est, tandis qu'à l'Ouest la communauté de l'Arche, menée par la fratrie Montgomery, se développe. Ainsi, Est et Ouest entrent dans une rupture religieuse fragilisante..
Alors que tout semblait revenir à un calme relatif, celui de la préparation des prochaines échéances présidentielles, la Résistance, groupe de terreur, apparaît et entame une série de démonstrations et d'attentats, visant les gendarmes et les civils. Les réactions sont nombreuses : Paul Desclaux et son Premier Ministre Angelo Mc. Walker décident de démonstrations militaires et de mesures de sécurisation du territoire de Zaros-Poliakko-Thérisa pour contrer la menace. Un "rideau de fer" s'installe, et à tout moment, un nouveau conflit plus meurtrier encore peut éclater.
Comme toute fin de chapitre, vient le temps des questions : qui accédera au pouvoir après le Nouveau Parti Nationaliste, et dans quel but ? Combien de temps encore Altis sera-t-elle une terre instable, en proie aux groupuscules rebelles, combien de temps encore Altis sera-t-elle la terre d'une guerre civile constante ?
edit : 10 06 / 15h
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