Peuple d'Agorapolis, bonjour.
C'est aujourd'hui que je me décide enfin à attaquer mon journal de bord.
En espérant que celui-ci vous plaise, je vous souhaite à toutes et à tous une bonne lecture.
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LES INFOS QUI SUIVRONT NE SERONT BIEN EVIDEMMENT PAS UTILISABLES RP PARLANT.
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"Robert prit son calepin puis commença à écrire ses péripéties."
Altis, bonjour.
Hier, le Samedi 13 Février 2022 fût un jour très mouvementé pour ma part.
Ayant fait une bonne grasse matinée, je me réveilla aux alentours de 20h.
Un événement sur l'île avait lieu à 21h avec des collègues, c'était au DP25 dans le périmètre de la Léopard Corp.
Un événement opposant, Rebelles munit d'otages, et Gendarmes munit d'équipements lourds.
Avec un petit peu de retard, il commença vers 22h.
Le but de cet événement était de capturer des otages par des êtres malveillants, les Rebelles, ayant capturé une trentaine d'otages à bord du vol 8970 d'Altis Airlines. Nous devions essayer de sortir indemne du périmètre tout en faisant face à tous les Gendarmes, prêts à tout pour sauver ces otages.
Tout se passa bien, l'extraction des otages était parfaite, nous avions une somme d'un million d'euros pour chaque tête d'otage.
On a d'ailleurs eu quelques problèmes avec les otages, quelques uns d'entre eux, prit de panique, ont fait des crises d'angoisses, fort heureusement, nous avions en notre possession des médicaments pour les calmer.
Certains d'entre eux étaient aussi très perturbateur.
Au moment de l'extraction, nous avions comme plan de se servir du dernier otage comme bouclier humain pour aller à bord de l'AC-130 et de s'envoler loin d'ici avec la rançon et avec toutes nos vies saines et sauves.
L'extraction débuta, on fit quelques mètres, des sommations sur la radio venant des Gendarmes étaient en cours, nous faisions comme si de rien était.
On était encerclés. J'avais l'otage entre mes mains, regardant le négociateur et son collègue nous mettre en joue.
Des coups de feux retentissent, des collègues répliquèrent, des collègues tombèrent, une balle passa près de mon oreille, puis, une balle dans ma jambe, puis dans l'autre.
J'étais touché par des Gendarmes tirant de derrière, bien camouflés.
Je me réveilla à l'hôpital, ayant fait un malaise, je ne me souviens pas de mon extraction jusqu'à l'hôpital...
C'est aujourd'hui que je me décide enfin à attaquer mon journal de bord.
En espérant que celui-ci vous plaise, je vous souhaite à toutes et à tous une bonne lecture.
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LES INFOS QUI SUIVRONT NE SERONT BIEN EVIDEMMENT PAS UTILISABLES RP PARLANT.
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"Robert prit son calepin puis commença à écrire ses péripéties."
Altis, bonjour.
Hier, le Samedi 13 Février 2022 fût un jour très mouvementé pour ma part.
Ayant fait une bonne grasse matinée, je me réveilla aux alentours de 20h.
Un événement sur l'île avait lieu à 21h avec des collègues, c'était au DP25 dans le périmètre de la Léopard Corp.
Un événement opposant, Rebelles munit d'otages, et Gendarmes munit d'équipements lourds.
Avec un petit peu de retard, il commença vers 22h.
Le but de cet événement était de capturer des otages par des êtres malveillants, les Rebelles, ayant capturé une trentaine d'otages à bord du vol 8970 d'Altis Airlines. Nous devions essayer de sortir indemne du périmètre tout en faisant face à tous les Gendarmes, prêts à tout pour sauver ces otages.
Tout se passa bien, l'extraction des otages était parfaite, nous avions une somme d'un million d'euros pour chaque tête d'otage.
On a d'ailleurs eu quelques problèmes avec les otages, quelques uns d'entre eux, prit de panique, ont fait des crises d'angoisses, fort heureusement, nous avions en notre possession des médicaments pour les calmer.
Certains d'entre eux étaient aussi très perturbateur.
Au moment de l'extraction, nous avions comme plan de se servir du dernier otage comme bouclier humain pour aller à bord de l'AC-130 et de s'envoler loin d'ici avec la rançon et avec toutes nos vies saines et sauves.
L'extraction débuta, on fit quelques mètres, des sommations sur la radio venant des Gendarmes étaient en cours, nous faisions comme si de rien était.
On était encerclés. J'avais l'otage entre mes mains, regardant le négociateur et son collègue nous mettre en joue.
Des coups de feux retentissent, des collègues répliquèrent, des collègues tombèrent, une balle passa près de mon oreille, puis, une balle dans ma jambe, puis dans l'autre.
J'étais touché par des Gendarmes tirant de derrière, bien camouflés.
Je me réveilla à l'hôpital, ayant fait un malaise, je ne me souviens pas de mon extraction jusqu'à l'hôpital...
