---IRL---
---RolePlay---
Je suis né en 1985,à Los Angeles dans ce quartier chaud que l'on appelle Campton.Comme beaucoup de jeunes dans ces quartiers j'ai fait des choses dont je ne suis pas fier,grandement influencé par mon père qui dans sa jeunesse dirigais un gang assez important en ville.Quand à ma mère je ne l'es jamais connu,mon père m'a toujours raconté qu'elle était partit à cause d'une maladie,mais bon mon père mentait comme il respirait,ma mère était partit vivre à San Francisco avec un inconnu.Je n'ai jamais chercher à la recontacter.Malgré cela,j'était un gosse plutôt bon en cours,j'était promis à un belle avenir que me disait mes professeurs,peu m'importait,ce je voulais c'est avoir une arme entre les mains,je sais à cet âge je n'avais encore pris conscience de tout,mais pour moi c'était une passion,un rêve.
N'ayant que cette idée en tête,agé de 19 ans j'ai décider de m'engager dans l'armée américaine,mes premières missions furent simples,de la protection de territoire.Et puis un beau jour tout aller se corser.Pour bon boulot sur le territoire mes supérieurs on décidé de m'envoyer au Takhistan,bon boulot...Ca ma bien fait rire,comment faire du mauvais boulot quand tu reste planter au même endroit,ou bien tu fait des rondes à observer les gens qui passent et les mouches volés.Bref quoiqu'il en soit je pris l'avion en direction du Takhistan,je n'était encore simple Soldat,tout le monde doutais de mes compétences,tous sauf une personne,le Général Weslay Clark.Moi même je ne savais pas pourquoi il comptait autant sur moi.
Comme première mission,je fut assigné à un sniper,le Sous-Lieutenant James Mills,autant vous dire qu'il fallait que je fasse bonne figure auprès de lui,j'était ses yeux.Je fut promu au bout d'un mois au grade de Caporal.
/Day 1\
Les choses sérieuses allait enfin commencer,des groupes terroristes commençaient à se montrer plus sévères et tentais de nouvelles attaques,la peur commençaient à me gagner.Mais j'ai vite compris qu'il n'y avait pas de place dans cette armée pour des mauviettes.Avec une escouade de 5 hommes,nous étions partis pour une simple mission de reconnaissance nocturne,malheuresement nous sommes tomber nez à nez avec un groupe rebelle d'au moins une vingtaine d'hommes.Pris sous le feu ennemis nous étions obligé de nous replier.Courant à travers la forêts de sapins ou nous pensions êtres en sécurité pour notre mission,Jack,notre opérateur radio fut touché dans la jambe.Je ne pouvais pas me permettre de le laisser sur place,j'ai donc fait marchge arrière afin de l'aider,un deuxième me rejoignit tendit que les autres nous couvraient.On eut du mal à le relever,nous avons été contraint à laisser la radio sur place,notre seule chance de pouvoir entré en contact avec le central.Toujours couvert par nos collègues qui tiraient sans relache sur nos assaillants,nous avons résussis à nous extraire in-extremis de ce champs de tirs.Après une heure et demie de fuite,nous avons fini par nous arréter dans une autre forêt.Il était aux alentours de trois heures du matin,pendant que nous dormions un de nous montait la garde.Le reste de la nuit fut calme.
/Day 2\
Humility must always be the portion of any man who receives acclaim earned in blood of his followers and sacrifices of his friends.
Après cette nuit toride,et sans moyens de communications,la question que tout le monde se posait était « Comment allons nous rentrer ? ».Ne connaissant pas la région,et la fuite,nous ne savions pas où nous étions sur la carte.Jack allait mieux,la douleur à sa jambe était passée graçe aux soins de notre médecin Carter.Ayant eu la bonne idée d'emporter de quoi manger et boire,nous avons fait un petit-déjeuner,vraiment très petit,avec le peu de provisions dont nous disposions,survivre n'allait pas être si simple.Tentant de se détendre un peu,on compara nos fait d'armes de la veille. Personellement,j'ai compté deux rebelles abattus et un blessé.Bref,notre objectif de la journée(après la survie) était de trouver un village et de se barrer de ce « foutu merdier »,comme disait le chef de l'escouade,Stamper.
La matinée fut simple et sans encombre.L'après-midi le fut moins,il était exactement quinze heures quinze.Après de longues heures de marche,nous sommes tombé sur un camp de rebelle,nous avions dénombré six hommes lourdement armées.En tant normal nous aurions dù demander au Central que faire,mais la,livrés à nous mêmes,Stamper décida de les attaquer,raison de plus pour les attaquer leur provisions.En 10 minutes nous avions établis un plan.Six contre cinq,nous ne pouvions pas nous permettre de faire des prisonniers,il fallait tous les tuers.
Je préfère vous épargner les détails de cette petite attaque,mais je peut vous dire qu'ils sont tous morts.Faisant le tour de leur camp de fortune,on y découvrit pas mal de choses interessantes,comme des plans(nous ne savions pas de quoi)que nous avions pris avec nous,ainsi que des caisses remplis d'armes,et enfin des provisions,du moins assez pour maximum deux repas.Malheuresement pas de radio et par manque de chance leur seul moyen de communication était un téléphone dans la poche d'un rebelle,qu'un de nous avais détruit en lui tirant dessus.Après cette mini-victoire nous décidions de repartir en quête d'un village.Finalement étant épuisé de cette journée de marche,nous avions décidé qu'il serait préférable de se reposer pour le lendemain.
/Day 3\
The easiest way to get shot is to carry a gun.
Le troisième jour fut nettement plus rude,sous une chaleur accablante,nous étions à bout de soufle.Cela faisait maintenant trois jours que nous marchions,sans réel but.Il devait être quinze heures lorsque nous avons enfin ce que nous cherchions.Un village,avec une vingtaine de petite maison faite de terre.Un village paisible,on y voyait des enfants courirs,des hommes agées avec des moutons.On devait être à 150 mètre de ce village,il ne nous rester qu'une colline à descendre.En entrant à peine dans le village que tout à coup les gens se mirent à courir dans leurs baraquements,ils avais peurs de nous,on vit au millieur du village un tronc d'arbre couché,nous nous dirigions vers ce tronc,ce qu'il y avait dessus était pour le moins écoeurant,il y avait une tache de sang assez volumineuse,ainsi qu'une hache,elle aussi taché de sang,nous pensions donc que ce tronc servait à abattre les moutons.Et puis un enfant vient vers nous,il devait avoir entre sept et neuf ans.Il nous tira jusqu'à sa maison,on y trouva une fille plus agée que lui,sa sœur,elle davait avoir 17 ans,ainsi que son père,il n'y avait pas sa mère.Le père tenta d'entrer en communication avec nous,mais il parlait une langue qu'aucun d'entre nous ne comprenais,heuresement la fille parlait un petit peu l'anglais et nous traduisit quelque mots.Puis il nous offra de quoi manger et boire.Après avoir manger,nous avons tenter de lui faire comprendre que nous voudrions un téléphone afin de pouvoir entrer en contact avec notre Central.Il nous en passa un,il eu du mal à nous expliquer que l'appel ne pourra durer que quelques minutes.On sortit donc notre carte,l'homme nous indique la position du village sur la carte.Une fois cela fait,nous lancions l'appelle en direction du central,une femme décroche et nous demanda pourquoi nous avons nous appellé sur une ligne secrète,Jack lui a alors passé son numéro d'identification,la femme nous passa alors notre QG,il nous resta assez de temps pour leur donner nos positions sur la carte ainsi que demander des renforts pour venir les chercher...Puis l'appel se termina.
Dehors la vie avait repris son cour normal,tout était si calme.Nous parlions tranquilement avec le père et ses deux enfants,quand tout à coup des crix de terreurs s'entendit dehors,alertés,nous nous sommes levé,l'un de nous regarda par la fénètre,puis se retourna,il murmura qu'il y avait une vingtaine d'hommes lourdement armées,dont quelques uns de lance-roquettes.Je me leva afin de regarder par la fenêtre pour savoir ce qu'il se passais.Un enfant,qui avit cinq ans je dirais,s'approcha des hommes,son père courra dérrière pour tenter de le rattraper,un des hommes lui tira une balle dans la jambe,il s'écroula en gémissant.L'homme lui ayant tiré dans la jambe s'approcha de lui,il lui murmura quelque chose.Puis lui tira une balle dans la tête qui l'acheva.Un autre homme attrapa l'enfant qui pleurait,il l'amena près du tronc d'arbre,puis le fit s'agenouiller la tête sur le tronc,il prit la hache,et crai avec un fort accent et aynat du mal ; « Livré nous américains!Ou je tue enfant ! » Il le répeta une dizaine de fois.Puis au bout de quelque secondes,nous décidions de sortir nous rendre,nous savions que c'était une mauvaise idée mais à cinq contre plus d'une vingtaine.Les hommes de dérrière nous visais avec une envie dans leurs yeux de nous abattre,d'autre sont venus vers nous pour nous attraper.Il parla,dans sa langue,on ne comprenait rien.L'homme qui tenait l'enfant le releva et le jeta par terre.Et mis à sa place sur le tronc,Stamper.Et s'apprétait à lui trancher la tête...Puis des coups de feu retentit,les rebelles tombais un par un,je frappa l'homme qui me retenait et lui pris son arme,je me suis retourner et j'ai tirer sur l'homme qui tenait Stamper,sous une pluie de feu,je me mis à couvert dérrière un mur,et je vit qui était décendu par la forêt,c'était les nôtres,ils étaient venu nous aider.Tous les rebelles étaient morts,sauf celui que j'avais assomé.Un hélicoptère est venu nous chercher,on amena les prisonnier avec nous.On rentra à la base,où notre Général nous attendait.
Il s'était passé un mois depuis ces évènements.Un mois sans trop d'importance,quelques missions de reconnaissance.Mais une véritable équipe s'était formé,notre escouade était inséparable.C'était un peu comme ma famille.
Puis vient enfin une véritable mission,nous avions découvert une planque djihadiste,une planque d'armes.On nous avait dit une trentaine d'hommes.Mais on nous avait surtout mis en garde sur le fait que ca n'allait pas être si facile que ça.Un plan avait été établie,on était cinquantes soldats déployés.Stamper m'avait laissé sa place de chef d'escouade.On est partis le lendemain,je vous épargne les détails du voyage,rien de bien interressants,quelques uns étaient stressés.
Une fois arrivés sur zone,les différentes escouade s'était dispersés autour du complexe selon un plan bien précis.Notre escouade,ainsi qu'une autre était prévu pour être les premiers à pénétrer dans l'enceinte.Deux devait arrivés par l'arrière.Et enfin le reste des escouades nous couvraient,et attendraient les ordres pour se déplacer.L'entré fut simple,deux grades a abattre en discrétion,on progréssais tranquilement.Puis un groupe d'hommes nous avient repéré par je ne sais quel moyen,puis ce fut un déluge de coup de feu,des ennemies comme des alliés tombaient au sol.Tout le camp était en alerte et se dirigaient vers nous.Une balle sifla à côté de mon oreille,je me suis retourner et ce que je vit m'horrifia,la balle s'était logé dans Harry...Directement au niveau du cœur.Carter s'est précipité à son chevet,puis quelques secondes après il leva sa tête dans ma direction,son regard en disait long,Harry était mort...Je ne réagissait plus...Puis un cri m'avait sortit de mes pensées, « grenade ! »,je n'avait plus le temps de partir,puis ce fut une déflagration,j'avait été projeté,un sifflement horrible retentissait,je voyais flou et entendait des bruits sourds.Puis tout devint noir,je pensais que ma mort était imminente...
Nothing is so exhilarating in life as to be shot at with no result.
Mes yeux se réouvraient,difficilement,quelques sons parvenaient à mon oreilles,des voix...Suis-je mort ?Mes paupières s'ouvrent puis se referment.
Puis les voix devenaient plus clairs...
-"Il se réveille",disa une voix féminine,
-"Ne lui dites rien,il l'apprendra par lui-même",répondit une voix d'homme.
Puis mes yeux s'ouvrit enfin,et je vis clairement,deux infirmières et un militaires,haut-gradé sûrement,je cherchais son nom sur son uniforme.John Hellster,ce nom me disait quelque chose.
Un peu plus tard,j'ai enfin eu l'autorisation de me lever,j'était dans le camp militaire,donc l'hôpital du camp militaire.
Je marchais,accompagné de deux soldats,ils ne parlaient pas,et je ne parlait pas.On allais vers un avion,les regards des autres soldats de la base me suivait,pourquoi ?
Arrivé à l'avion,Hellster m'y attendait.Un soldat me dit « Alors,on salut pas son Colonel ? ».De quel droit ce Sergent se permattait de me faire une telle remarque.
Le Colonel m'expliqua alors que je rentrait au pays,que j'allais retrouver ma famille,puis faire un stage de réhabilitation dans une base de l'US Army en Californie.
Où était mon escouade?Et Harry ?
If any question why we died,
Tell them, because our fathers lied.
Enfin de retour au Pays,les Etats-Unis d'Amérique.
Après quelques jours passés dans ma famille,j'ai dus partir à la base.
A l'entrée de la base,Carter m'y attendait,sourillant.Je me suis approché de lui et la,des dizaines et des dizaines de soldats applaudirent.Carter était seul,et parmis les soldats je ne vis pas Stamper et les autres.
Je suis partis voir le Colonel pour lui demander si ils avaient récuperer mes plaques,il me répondit que non et que je les avait lorsqu'ils m'ont amené au dispensaire.
Après ces « retrouvailles »,acceuilli comme un héro,je pris à partit Carter,j'avais besoin de savoir.Carter m'annonca nous n 'étions que trois de l'escouade à avoir survécus,Carter,Jack et moi.Jack était à l'hôpital et n'avait pas le droit aux visites pour le moment.
The war would be a blessing if it kills only the professionals.
Un matin,Carter venu me chercher dans ma chambre,il m'informa que toute la base me cherchait,et ne me voulait pas du bien.Il me supplia de partir aussi vite que possible de la base.Sur le chemin pour quitter la base,une recrue s'est approché de moi en me disant de m'arreter,je sentit le danger venir,je l'es attraper,bloquer la bouche et je l'es assomé.Carter m'expliqua qu'ils ont retrouvé deux corps sans vies de soldats dans la base,avec mon arme et mes plaques arrachés....
Dans l'armée américaine, ce genre de chose est punie très sévèrement, mais ce n'était pas moi. Quelqu'un m'en voulait, mais qui ?
Je devait fuir, loin, il ne faut pas qu'on me retrouve, mais pour aller où ? Un ami ma parlé un endroit paumé, personne ne viendrai me chercher là-bas.
N'Ziwasogo, perdu dans la forêt colombienne.
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