Réponse à M. Hergebel et ses ravisseurs

Marcel Fournier

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M. @Octave Hergébel faites attention, vous faites preuves de propos diffamatoire.
A quoi se résume mes journées?
- Faire renaître la Meta-Tech de ses cendres
-Faire renaître l'Auto-Tech
- Prendre contact avec la GN pour des braquages.

Si vous me cherchez vous me trouverez à mon entreprise disposé à parler.​
 
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M

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Monsieur Fournier,

Je vous informe que j'ai reçu mandat de Monsieur Octave Hergébel afin de le représenter, de ce fait je vais parler ici en son nom.

Vous avez posté une vidéo en réponse à son courrier en date du 25/03/2020 dans laquelle vous accusez mon client d'une prétendue diffamation car il aurait dit que "vous côtoyez ces personnes."

Laissez-moi vous prouver le contraire, avec la plus grande simplicité et bienveillance.

I - Sur l'existence d'une diffamation.

Pour simple rappel, la diffamation est régie par l'article 32 de notre Recueil des textes législatifs. Celui-ci dispose que "Diffamer (alléguer ou imputer un fait qui porte atteinte à l'honneur ou l'intégrité d'autrui) ou injurer autrui est sanctionné." Par ailleurs, le texte ne dit rien mais les propos doivent être tenus de façon publique.

Autrement dit, les propos tenus par mon client doivent donc porter atteinte à l'honneur ou l'intégrité d'autrui et cela de façon publique.

II - Sur l'absence en l'espèce de Diffamation.

En réalité, il n'y a aucune diffamation dans la lettre publiée par mon client.

En effet, s'il est vrai que celle-ci est accessible à tous, elle ne comporte d'aucune manière que ce soit des propos qui portent atteinte à votre honneur ou intégrité physique.

Tout d'abord, vous dites que mon client aurait avancé à votre encontre les propos suivants "Je côtoies ces personnes".

Or, il semble que vous ayez lu trop vite le courrier de Monsieur Hergébel.

Effectivement, celui-ci a en réalité écrit cela "J'assure que si ma vie devait être de nouveau mise en danger à la suite des copinages que cet individu pourrait avoir, (...)"

Reprenons points par points si vous le voulez bien.

Concernant la mise en danger de la vie de mon client, celle-ci est totalement avéré. D'ailleurs, vous ne contestez pas ce point.

Ensuite, concernant le point central de vos accusations il a bien été écrit cela "à la suite des copinages que cet individu pourrait avoir, (...)"

Monsieur, il n'a jamais été écrit "à la suite des copinages que cet individu a, (...)".

Ici, mon client ne fait que supposer quelque chose et n'affirme en rien que vous côtoyez effectivement ces personnes.

De plus, s'il laisse présumer cette supposition, ce n'est pas sans fondement. Je vous rappel que s'il a subi cette violence c'est en lien avec la publication de votre reportage.

Maintenant, il est vrai que vous n'avez pas commis de faute, puisque vous n'avez fait que votre travail de journaliste. Néanmoins cela n'enlève en rien le fait que mon client a failli perdre la vie à votre place.

Par conséquent, mon client vous prie de bien vouloir retirer vos accusations de diffamation, qui ne sont en aucun cas justifiés. Je vous rappelle qu'une accusation publique infondée pourrait être considérée comme étant de la diffamation..

Veuillez recevoir, Monsieur Fournier, mes salutations distinguées.

Maître Molléti.
 
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Marcel Fournier

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Monsieur Fournier,

Je vous informe que j'ai reçu mandat de Monsieur Octave Hergébel afin de le représenter, de ce fait je vais parler ici en son nom.

Vous avez posté une vidéo en réponse à son courrier en date du 25/03/2020 dans laquelle vous accusez mon client d'une prétendue diffamation car il aurait dit que "vous côtoyez ces personnes."

Laissez-moi vous prouver le contraire, avec la plus grande simplicité et bienveillance.

I - Sur l'existence d'une diffamation.

Pour simple rappel, la diffamation est régie par l'article 32 de notre Recueil des textes législatifs. Celui-ci dispose que "Diffamer (alléguer ou imputer un fait qui porte atteinte à l'honneur ou l'intégrité d'autrui) ou injurer autrui est sanctionné." Par ailleurs, le texte ne dit rien mais les propos doivent être tenus de façon publique.

Autrement dit, les propos tenus par mon client doivent donc porter atteinte à l'honneur ou l'intégrité d'autrui et cela de façon publique.

II - Sur l'absence en l'espèce de Diffamation.

En réalité, il n'y a aucune diffamation dans la lettre publiée par mon client.

En effet, s'il est vrai que celle-ci est accessible à tous, elle ne comporte d'aucune manière que ce soit des propos qui portent atteinte à votre honneur ou intégrité physique.

Tout d'abord, vous dites que mon client aurait avancé à votre encontre les propos suivants "Je côtoies ces personnes".

Or, il semble que vous ayez lu trop vite le courrier de Monsieur Hergébel.

Effectivement, celui-ci a en réalité écrit cela "J'assure que si ma vie devait être de nouveau mise en danger à la suite des copinages que cet individu pourrait avoir, (...)"

Reprenons points par points si vous le voulez bien.

Concernant la mise en danger de la vie de mon client, celle-ci est totalement avéré. D'ailleurs, vous ne contestez pas ce point.

Ensuite, concernant le point central de vos accusations il a bien été écrit cela "à la suite des copinages que cet individu pourrait avoir, (...)"

Monsieur, il n'a jamais été écrit "à la suite des copinages que cet individu a, (...)".

Ici, mon client ne fait que supposer quelque chose et n'affirme en rien que vous côtoyez effectivement ces personnes.

De plus, s'il laisse présumer cette supposition, ce n'est pas sans fondement. Je vous rappel que s'il a subi cette violence c'est en lien avec la publication de votre reportage.

Maintenant, il est vrai que vous n'avez pas commis de faute, puisque vous n'avez fait que votre travail de journaliste. Néanmoins cela n'enlève en rien le fait que mon client a failli perdre la vie à votre place.

Par conséquent, mon client vous prie de bien vouloir retirer vos accusations de diffamation, qui ne sont en aucun cas justifiés. Je vous rappelle qu'une accusation publique infondée pourrait être considérée comme étant de la diffamation..

Veuillez recevoir, Monsieur Fournier, mes salutations distinguées.

Maître Molléti.
Maître, permettez moi d en douter, le fait de dire que je met en danger sa vie ça vie car je ferrais preuve de copinage avec ses individus est dégradant pour mon image publique et donc pour mon honneur et mon intégrité morale. Merci à vous.

Je vous invite donc à me poursuivre en justice et je ferrait donc de même.

Je vous batterez.

Pas besoin de grand textes pour montrer que nous comprenons la lois et vouloir dire la même chose à chaque paragraphe. Cela dit, très bonne stratégie.
 
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M

Membre supprimé 42134

Monsieur,

Encore une fois et comme démontré précédemment, il n'a jamais été dit que vous faisiez preuve de copinage avec ces individus. Mon client a simplement émis l'hypothèse au regard de ce qui lui est arrivé.

Quoi qu'il en soit vous pouvez le considérer comme vous le souhaitez, il n'y a en réalité aucune diffamation en l'espèce et vous ne le prouvez guère.

En revanche si vous considérez qu'il y a effectivement diffamation, libre à vous de saisir la justice et de faire valoir vos droits.

Nous n'excluons pas de notre côté d'éventuelles poursuites à votre encontre s'il s'avère que vous avez porté atteinte à l'honneur de mon client.

Cordialement,
Maître Molléti.
 
M

Membre supprimé 42134

Monsieur,

Nous n'avons pas dit que nous allons vous attaquer en justice, nous nous réservons simplement le droit, ce n'est pas la même chose.

Quoi qu'il en soit, je vous rappelle que c'est vous qui accusez mon client de diffamation..

Dire la même chose à chaque paragraphe ? C'est un simple syllogisme en droit .. mais vous ne savez peut -être pas ce que c'est.

N'hésite pas à ajouter un message en dessous pour dire que tu modifies ton message.. tu ajoutes des choses en réponse à mon message mais je ne peux pas le voir. ^^

Je vous souhaite une bonne journée.

Bien à vous,
Maître Molléti.
 

Marcel Fournier

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Maître,

Vous insultez mon intelligence. Mais bon ne vous en faites pas.
Je connais le syllogisme juridique. Je vous ai dit hier que j avais les notion nécessaire ayant être magistrat.

Et si vous arrêtiez de laver votre linge sale en publique car des abrutis ont attaqué la liberté et le devoir d informer.

C etait mon dernier message ici

Cordialement
Marcel Fournier
 
M

Membre supprimé 42134

Monsieur,

N'ayez crainte, je n'ai jamais voulu porter atteinte à votre intelligence.

Dans ce cas, si vous connaissez le syllogisme juridique vous savez pourquoi mes paragraphes sont écrits de la sorte.

Je vous souhaite une bonne journée,

Bien à vous,
Maître Molléti.