Présentation de Vartan Mandikian

Vartan Mandikian.

Citoyen d'Altis
  Membre
12 Déc. 2018
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Présentation IRL :

-Age : 19

-Lieu de résidence : ----

-Comment avez vous connus le serveur : Je le connais depuis des années

-Vos loisirs, passions : ----

-Paragraphe Libre : ----

-Votre expérience du RP : Je joue depuis plusieurs années en RP, que ça soit sur Gmod, Arma, ou autre, j'ai a peut près tout fait et tout vu.


Présentation de ton personnage :

1 - Identité :

Prénom(s) : Vartan

Nom(s) : Mandikian

Pseudonyme(s) : Aucun

Âge : 23

Date de naissance : 30/03/1996

Origine(s) : Arménienne.

Langage(s) : Français et Anglais.

Profession(s) / Activité(s) : A la recherche d'emploi.


2 - Caractéristique physique


Couleur de peau : Hâlé.

Taille (en centimètre) : 194cm

Modification(s) corporelle(s) : Piercing septum, Piercing bridge, Piercing au lobes écarteurs. Tatoué du cou au pied de symbole occultes et de forme géométrique ésotérique.

Main préférentielle - Gaucher / droitier / ambidextre : Droitier

Couleur des yeux : Bleu gris.

Couleur des cheveux : Noir de jais.

Groupe Sanguin : AB+.

État de santé : Bonne Santé.



Histoire :

Je suis né le 30 mars 1996 en France dans la Drôme, j'ai grandi dans le sud de la France dans un petit village des Alpes. j'ai été élevé par ma mère, mon père nous a abandonné très tôt et pris avec lui mon grand frère. Depuis que j'étais petit j'avais du mal à me sociabiliser, j'en voyais pas l’intérêt et je n'en avais pas envie non plus. J'avais très peu d'amis, j'ai passé la plupart de mon temps seul sans me soucier des autres. Ce que les gens ont remarqué et pour dire à ma mère "votre fils est sauvage" "Il ne parle à personne" "Il est très hostile avec ses camarades" mais ma mère me comprenait et ne me le reprochait pas. Adolescent, mon insociabilité était encore plus flagrante, car vers mes 17 ans j'avais enfin compris pourquoi je ne supportais pas la présence des gens, j'avais enfin compris d'où vient ce sentiment de haine et de dégoût. J'étais tout simplement misanthrope, je détestais l'humanité elle qui était si imbu d'elle-même, si stupide et rempli de cruauté. La pire espèce qui soit, mais j'en faisais partie. Malgré cette vision des choses je vivais parmi eux. Rares sont les personnes qui sortaient du lot et avec qui je nouais des liens d'amitié. Mais c'est comme ça que ma vie était rythmée. Mais adulte je m'étais habitué à cette vie, à vivre entouré de ce que je détestais, haïssais et qui me faisais ressentir un immense dégoût. Plus tard j’enchaînait les petits boulots à la suite ce qui me permit de vivre.


Une nuit alors que je sortais de mon taff, j’entendis une voix criante d'une femme provenant d'une ruelle. Je me suis dit "ce n'est pas mes affaires" mais c'est alors que j'ai distingué un appel à l'aide. Je me suis rapproché de la ruelle sombre, et je vis un homme qui violé une jeune femme à moitié nue sur le béton qui criait à l'aide. L'homme mis sa main sur la bouche de la jeune puis dite "Ferme la salope" tout en la violant. Sous le choc de la situation je suis resté figé, puis le regard de la pauvre femme me fixa. Ce regard qui cria à l'aide me ramena à la réalité. J'empoigna une brique au sol et je frappa à l'arrière du crâne de ce salopard ce qu'il le fit tomber sur la jeune femme. Elle réussit à se libérer du poids de son violeur tétanisé et en pleure. Je lui dis "ça va aller ?" que j'étais con, bien sur que non ça n'allât pas, elle venait de se faire violer. Soudain l'homme se remit du coup que je lui avais mis, ce qui fit pousser un cri à la femme puis prise la fuite. Je me suis retrouvé seul avec ce chien allongé au sol entrain à essayer de se relever. Et là c'est comme si une petite voix dans ma tête me dit "Fait-le tu en as envie", ce qui me poussa à cogner la tempe de ce connard avec la brique ce qui me procura un immense plaisir, je ne pouvais plus m'arrêter alors j'ai frappé encore et encore jusqu'à ce que de sa tête il ne reste qu'un mélange de chair, de cerveau et de morceau de crâne. Après un moment je repris mes esprits, et me relevai, j'étais sali de son sang. J'ai jetai la brique et repris la route pour rentrer, une fois chez moi je pris une douche et jeta mes vêtements. Je n'avais aucun remords, j'avais accompli une forme de justice. Quelques jours plus tard la Police arriva à ma porte pour me parler de ce que j'avais commis. Je n'ai pas cherché à mentir j'ai avoué et raconté l'histoire. Cette histoire se termina plus tôt mal pour moi je n'avais pas eu à écoper des années en prison, mais ils m'ont collé un psy au cul les fumiers.


Des mois plus tard après cette histoire je n'avais qu'une envie, partir de cette ville. De ce pays. J'ai pris ce que je pouvais prendre pour aller n'importe où mais pas ici. C'est alors que je me suis rendu en Arménie, mon pays d'origine. Là-bas j'ai servi dans l'Armée pendant quelques années, j'ai vu l'horreur de la guerre, la cruauté et la violence. Mais ce n'était pas pour me déplaire car j'ai eu un certain plaisir à éliminer des humains qui le mérite. Je ne suis pas resté longtemps dans mon pays d'origine après avoir quitté l'armée je ne savais plus où me rendre, j'ai alors entendu parler d'une île, une île grecque où on pouvait tout recommencer à zéro. Alors je suis allé sur l'île d'Altis. Je voulais recommencer ma vie là-bas lavée de cette histoire. Au poste de l'aéroport l'agent me dit "Mandikian ? Vous avez un frère ?" je lui répondis "Ouais, mais je n'ai pas grandi avec lui, il a vécu avec notre père et moi avec notre mère." l'agent me dit "eh bien, lui aussi est venue ici, il me semble qu'il vit ici maintenant." Après cette information je n'avais plus qu'une idée en tête. Le retrouver, aussi loin que je me souvienne mon frère était la seule personne avec qui je pouvais parler et passer de longs moments sans ressentir les dégoûts ou la haine envers l'humanité.
 
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