Journal de bord du Dr John Freeman

[John Freeman]

** John s'enfila un verre de bourbon cul sec entre deux visites médicales, prit son stylo à plume et écrit ces quelques mots **

Cher journal,

Je n'ai pas eu trop le temps de t'ouvrir et y écrir quelques mot. il est vrai que je suis très occupé.
Je suis au BMPA depuis pas très longtemps et la routine commence déjà à s'installer. Le même type d'interventions, les mêmes soirées mouvementées avec toujours le même manque d'effectif ...
Je commence à en avoir marre et je vais sans doute quitter ma fonction de médecin, de maître, de secrétaire adjoint à l'amicale et de sénateur adjoint.
Je pense que je vais suivre le tracé de mon père et aller prendre les armes pour que l’Île d'Altis retrouve sa grandeur.

​

 

[John Freeman]

** John soupira, se lava les mains pleine de sang de tortue et prit son stylo **

Cher journal,
Ma conversion en tant que "rebelle" se passe très bien pour l'instant, j'ai eu notamment l'occasion de me faire un peu d'argent, d'acquérir des armes de plus gros calibre et de rencontrer quelques groupuscules, familles ... la plus part très accueillant, en particulier les gitans.
De plus, ma haine envers l’État ne cesse de grandir, en effet j'ai eu l'honneur d'avoir un homicide involontaire sur mon casier tout en ne tirant aucun coup de feu .
Je vais te laisser cher journal, j'ai pleins d'occupations qui m'attendent.​

 

[John Freeman]

Cher journal,
La vie du groupe se porte plutôt bien. Certains Altos sont intéressés par nos convictions et décident de franchir le pas en nous rejoignant.
Notre armurerie continue de se remplir et nous commençons à nous faire connaitre à travers les différents groupuscules déjà implantés.
Je retire ce que j'ai dis précédemment sur les gitans, c'est des bons à rien impulsifs, faut vraiment que l'on fasse quelque chose contre ces immigrés nocifs à Altis. Ils squattent Kavala, tabassent quiconque les regarde un peu trop longtemps ...
Les habitants de Kavala ne se sentent plus en sécurité et cela n'est pas normal.
Et ce n'est pas la gendarmerie qui pourra les arrêter.
Enfin bref, je ne sais pas quoi te dire de plus, Altis va mal et est souvent déserte.
Je te laisse avec une petite image prise lors d'une soirée où un Tok arrivé de façon clandestine essayait d'imposer sa culture.

​