Carnet de Bord de Arnaud JOHNSON

Arnaud Johnson

Police Nationale
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20 Déc. 2016
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Jour 1

Bonjour chère journal,
Je n'est pas grand chose a te raconter alors je vais me présenter.

Je suis né le 7 Septembre 1995 en France à Dijon, d’un père américain David JOHNSON et d’une mère française Emmanuelle Leblanc.
Nous sommes Trois enfants, Aron mon grand frère, ma petite sœur Mia, et moi Arnaud
Que dire sur mon enfance et ma scolarité, j'étais bon élève assidu, mais mon seul objectif était de rejoindre les commando marines.

À l’âge de 18 ans j’ai intégré l'armée de Terre en tant que Maître chien.
J’ai effectué plusieurs missions extérieures notamment au Mali.
Mon frère Alan lui a rejoint les Parachutistes un an plus tard.
Puis après deux ans j'ai fait une candidature dans les Commando Marines.
J'y suis resté 2 ans.
J’ai pu y évoluer jusqu’au grade de Second-Maître
J’ai pendant ce temps effectué des missions partout en France et dans de nombreux autres pays, et parmi eux la Russie où j’avais pour mission d'infiltrer un groupe de rebelles qui trafiquait de armement lourd, je suis resté 1 an dans le pays ce qui m'a laissé le temps de me familiariser avec la langue et les coutumes locales, nous y avons eu de lourdes pertes, encore une fois.
Cette mission en Russie était une de mes plus dure, pour cela j’ai été décoré de la médaille d’honneur.
Il y a aussi eu les nombreuses libérations d'otages, mais une m'a particulièrement marqué, “Le Carré D’AS” en 2008 deux otages lors d’un acte de piraterie au large de la Somalie, c’était ma première mission en tant que Marins.
Cela me passionnait, les missions de reconnaissance, d’infiltration, et même d’exécution, toutes différentes les unes des autres.
De jour comme de nuit, nous étions toujours sur le terrain.

Suite à cela, et à l’aide d’un de mes supérieurs, mes “exploits” sont remontés auprès des forces spéciales françaises.
Ils m'ont proposé un poste d’instructeur en infiltration, éliminations et exécution en tous genres dans différents pays. Je me suis ensuite spécialisé dans l’Instruction théorique et pratique aux combats rapprochés et de longues distances.

Après 2 années de carrière dans les forces spéciales françaises …
Mon supérieur, alors qu'on était en train de manger, m'a fait lire un article…
J’avais faim j’ai donc lu les grosses lignes et en gros j’ai compris que les relations à Los-Santos étaient de plus en plus tendues.
Cela me reste en tête pendant plusieurs mois, que faire…

J’ai repris contact avec ma sœur, elle m'a annoncé une bonne nouvelle: Aron avait suivi mes traces chez les Commandos, mais depuis plus de nouvelles, mais comme on dit “Pas de nouvelles, bonnes nouvelles”.
En ce qui la concerne, elle va bientôt se marier et être maman d’une petite fille “Lola”.

Un matin de novembre 2018 une lettre pas comme les autres un tampon de cire bleu fermait la lettre.
Sur la lettre, un appel au renfort de l'OTAN aurait besoin de 2000 hommes pour intervenir en Chernarus. Ma réponse est plus que positive.
Au briefing début décembre le chef de corps des armes de L’OTAN dit : “ Messieurs cette guerre dure depuis 2016 nous allons intervenir sans l'autorisation officielle de L’ONU, je ne pourrais pas garantir votre retour, que toute les personnes volontaires se lèvent ! “
Je me suis donc levé avec enthousiasme et fierté.
À ce moment-là j’ai reçu le grade de Sergent-Major et j’ai débarqué sur Chernarus le 11 décembre 2018, dans la 7è Compagnie de transmission de l’OTAN.

Une fois sur place J'ai effectué diverse mission, et en particulier une très périlleuse, la prise de la ville de Kirovograd qui était aux mains des communiste, elle fût compliqué autant physiquement que mentalement, je fût prisonnier par les Chédaki, six jours ca à été long mais mon unité a réussi à me sortir de la non sans blessures.

Quelque temps après avoir sécurisé le secteur, l’attentat sur Novigrad a eu lieu en février 2019.
Il fallait évacuer les civils au plus vite, le Major qui commandait mon unité a malheureusement péri pendant l’évacuation, j’ai donc par la suite pris le commandement afin d'assurer le bon déroulement de l’évacuation des citoyens vers un lieu sûr, ce fût chose faite non sans efforts.
J’ai par la suite avec cinq hommes à moi effectué des missions d'infiltration afin de mettre à mal les Communistes, on en aurait fait péter des points relais bordel, et fait sauté des têtes à ces saletés.
Malgré la trêve proclamée, les ordres du Major étaient de continuer la mission et de repousser l’ennemi, coûte que coûte.
Les Chédaki en faisaient visiblement de même au vu des attaques récurrentes que nous subissions.

On avait posé bivouac dans un bois, mais par manque de surveillance de la part du Caporal Groswen, on a subi une attaque de nuit, trois de mes hommes sont morts dont ce dernier, Tassin et moi avons réussi à nous en sortir.
Les Communistes nous détruisent à petit feu, je peux plus me les voir en peinture, je me demande comment je vais gérer le fait d’en avoir un devant moi les mains sur le dos.
Nous avons tenté de rejoindre la frontière de la Zagorie du Sud, nous y sommes parvenus après quatre long mois de marche.

Pas à pas, on s'est replié dans un petit village où nous nous somme fixé en poste avancé.
Peu de temps après deux hommes de l’OTAN arrivèrent, dont un grièvement blessé, en ce qui concerne l’autre j’avais une impression de déjà vu mais impossible de remettre un nom sur ce visage.
Après une longue nuit à s’occuper du blessé, j’ai reçu un message radio nous informant d’une évacuation des blessés à 7-00, à la ZE se situant à deux kilomètres au Nord Est du village appelé Zvir.
C’est au moment de montrer nos plaques que j'ai aperçu celle de mon frère Aron.
Cela faisait effectivement dix-neuf ans que je ne l’avais pas vu, il a drôlement changé le minot, il avait pris une sacré balafre sur la joue gauche.
Moi et mon frère sommes restés en position dans le Village, laissant évacué nos hommes seuls.
En discutant nous en avons conclu que nos deux unités avaient effectué des missions conjointes.
Après avoir passé quelque semaines ensemble dans ce Village nous avons décidé de marcher en direction d’une colline afin d’avoir une meilleure réception radio.

Suite à cela nous avons entendu une communication radio début juillet, nous annonçant la fin de l’OPEX.
Une fois rentré, j’ai repris mon poste d’instructeur.
Après six mois d’activité nous avons avec mon frère quitté les Commando Marines, nous voulions profiter de nos vies.

Pour ma part j’ai intégré une école de Police Nationale, ou je suis devenu gardien de la paix.
Après un an de service à la Police aux Frontières de Chamonix et un sauvetage qualifié de “Miraculeux”, je suis passé Gardien de la paix échelon 3 ( Sous-Brigadier).
J’ai donc décidé de passer la formation d’Officier de Police judiciaire, formation que j’ai obtenue.
Ma sœur m’as dis avoir emménager sur une petite île appelée, et elle y aurait rencontré un Ancien de mes Camarades de l'OTAN, Scott ******.
J'ai hâte de le revoir ce petit Caporal Booker...
De plus, cette île recherche des volontaires pour intégrer la Gendarmerie Nationale.
Je vais devoir mettre ma fierté de côté, mais je pense que mes qualités en réglementation transfrontière et OPJ peuvent être utiles à cette institution.

J’ai donc pris deux billets, pour moi et ma conjointe, nous sommes actuellement dans l’avion.
La suite, il faudra nous rencontrer pour la connaître.