Semaine 1:
Voilà à peine trois jours que je suis sur l'île et déjà de nombreuses tempêtes surviennent, m’empêchant de débuter mon travail temporaire de mineur. J'espère qu'elle passera vite. Je n'ai même pas encore eu d'offre d'emploi. Décidément cette île ne me désire guère. Heureusement j'ai fait la connaissance d'une personne semble-t-il fort sympathique, mais comme disait père, seul ton esprit aguerri est ton vrai seul ami.
Le 3 juillet, un jour terrible qui restera gravé dans ma mémoire. Ce matin là, après que la tempête ne se soit calmée j'ai décidé de retrouver la personne amicale que j'avais revue la veille. Nous avions décidé de nous lancer dans le minage de métaux communs et nous nous apprêtions à partir, lorsque qu'un homme, lui aussi fort aimable, nous a recommandé d'aller à la LocaSource. Il nous renseignât alors sur les prix très alléchants qu'offrait la compagnie. Pensant faire une bonne affaire nous nous sommes rendus au siège de la PME.
Terrible erreur je le reconnais. Non pas que la location eût été d'un prix exorbitant, non pas que nous ayons eu un accident et non pas que nous ayons été braqué. La vérité fut que de retour d'un voyage très lucratif, nous avons eu la sotte idée de vouloir aller rendre les camions loués encore pour la journée. Aucun regret vis-à-vis des potentiels bénéfices supplémentaires que nous aurions pu faire, ça non.
L'élément perturbateur de cette journée ,semble-t-il radieuse, ne résida alors que dans un homme. J'ai nommé M.Américo le PDG de l'entreprise. Cet homme à l'allure bienveillante, après un retour des clés sans dérapage, a soudainement eu l'idée de nous tirer dessus sans raison apparente. Il était heureusement aussi fou que piètre tireur, cependant même mon entraînement aussi rigide et strict fût-il, ne me permit d'éviter deux balles à bout portant qui vinrent se planter dans ma jambe. Malgré la douleur aiguë, je continuai de courir avec mon acolyte, tout en évitant les balles de ce décérébré en plein délire.
Nous dispersant pour qu'au moins un de nous deux survive, j'ai été obligé de m'abriter sous les camions. Un bosquet me permis de m'abriter de l’œil aussi aveugle que stupide du cinglé ,à l'air faussement sympathique du commercial avenant. Retrouvant mon camarade, nous avons pu quitter les lieux en direction de l’hôpital le plus proche. Ce retour fut ponctué d'un bruit sourd d'arme automatique.
Aujourd'hui et l'heure de la justice. Je m'en vais de ce pas demander réparation à monsieur Schulse Américo. Deux jours d'hospitalisation pour quelque chose qu'il trouve "marrant"!
Kavala, 02/08
Voilà à peine trois jours que je suis sur l'île et déjà de nombreuses tempêtes surviennent, m’empêchant de débuter mon travail temporaire de mineur. J'espère qu'elle passera vite. Je n'ai même pas encore eu d'offre d'emploi. Décidément cette île ne me désire guère. Heureusement j'ai fait la connaissance d'une personne semble-t-il fort sympathique, mais comme disait père, seul ton esprit aguerri est ton vrai seul ami.
Le 3 juillet, un jour terrible qui restera gravé dans ma mémoire. Ce matin là, après que la tempête ne se soit calmée j'ai décidé de retrouver la personne amicale que j'avais revue la veille. Nous avions décidé de nous lancer dans le minage de métaux communs et nous nous apprêtions à partir, lorsque qu'un homme, lui aussi fort aimable, nous a recommandé d'aller à la LocaSource. Il nous renseignât alors sur les prix très alléchants qu'offrait la compagnie. Pensant faire une bonne affaire nous nous sommes rendus au siège de la PME.
Terrible erreur je le reconnais. Non pas que la location eût été d'un prix exorbitant, non pas que nous ayons eu un accident et non pas que nous ayons été braqué. La vérité fut que de retour d'un voyage très lucratif, nous avons eu la sotte idée de vouloir aller rendre les camions loués encore pour la journée. Aucun regret vis-à-vis des potentiels bénéfices supplémentaires que nous aurions pu faire, ça non.
L'élément perturbateur de cette journée ,semble-t-il radieuse, ne résida alors que dans un homme. J'ai nommé M.Américo le PDG de l'entreprise. Cet homme à l'allure bienveillante, après un retour des clés sans dérapage, a soudainement eu l'idée de nous tirer dessus sans raison apparente. Il était heureusement aussi fou que piètre tireur, cependant même mon entraînement aussi rigide et strict fût-il, ne me permit d'éviter deux balles à bout portant qui vinrent se planter dans ma jambe. Malgré la douleur aiguë, je continuai de courir avec mon acolyte, tout en évitant les balles de ce décérébré en plein délire.
Nous dispersant pour qu'au moins un de nous deux survive, j'ai été obligé de m'abriter sous les camions. Un bosquet me permis de m'abriter de l’œil aussi aveugle que stupide du cinglé ,à l'air faussement sympathique du commercial avenant. Retrouvant mon camarade, nous avons pu quitter les lieux en direction de l’hôpital le plus proche. Ce retour fut ponctué d'un bruit sourd d'arme automatique.
Aujourd'hui et l'heure de la justice. Je m'en vais de ce pas demander réparation à monsieur Schulse Américo. Deux jours d'hospitalisation pour quelque chose qu'il trouve "marrant"!
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