Journal de Flo Benetti

Bonjour journal, aujourd’hui c’est la première fois que je t’ouvre, généralement j’essaie de rester discret mais on m’a dit qu’écrire faisait réfléchir c’est pourquoi je te commence aujourd’hui. Ça fait si peu de temps que je suis sur l’île mais tellement de choses se sont déjà passées... Pour être honnête je pense que mon avenir sur cette île était tout tracé après quelques jours en tant que civil j’ai fait la connaissance d’un groupe, le FAB. A la première impression ça m’a semblé des types bien, j’ai continué à travailler pour eux jusqu’à me faire serrer. Après cette arrestation j’ai été mit sous bracelet en attente de mon procès, je ne vais pas te mentir à ce moment j’étais perdu, je venais d’arriver, je me retrouvais avec pas mal de chefs d’accusations graves au cul, je savais plus quoi faire. J’ai donc décidé de recontacter mes employeurs qui par la suite me proposent une place au sein de leur famille. A partir de maintenant je vais parler de famille plus de groupe, d’organisation ou d’employeurs. C’est vraiment l’effet que ça me fait, une nouvelle famille, des supérieurs réfléchis pour nous guider dans nos débuts dans le business. Je pense que c’est aussi ce qui fait prendre de l’ampleur à notre famille ces dernières semaines, le fait de cumuler une entente familiale toute en respectant une hiérarchie, et surtout rester réglo envers les personnes qui nous donnent leurs confiances, pour moi c’est comme ça que le groupe idéal doit fonctionner. Qu’est ce que je peux te dire maintenant, nous nous engagions dans un temps de tension contre des vermines de Molos qui s’était perdu dans l’ouest et l’organisation mais ils ont été éradiqués avant même qu’on ait pu leur montrer qui ont été. Enfin tant mieux, une guerre gagné sans essuyer de perte c’est tout ce qu’on veut au final. La situation c'est apaisé, on va pouvoir se reconcentrer pleinement sur le business et on verra par la suite…

Salut journal, je trouve enfin aujourd'hui le temps de te parler. Tu te rappelles quand je te disais que la situation c'était apaisée, tu te rappelles les deux groupes que je disais avoir été éradiqué et bah aussi fou qu'on pourrait le croire les restes se sont rassemblés. Je vais pas te le cacher on a vu ça comme un cadeau, que rêver de mieux, on galerait à chercher deux groupes qui au final de sont rassemblés et affaibli, sans surprise ça a été rapide, avant que j'ai eu le temps de me mettre en position La Carpe en avait fumé 3 et 3 autres de capturés. Une seule blessure à déclarer, notre général il a prit une sacré balle a la rotule et dieu merci le casque a fait son job. On a par la suite emmener les 3 prisonniers chez nous pour les interrogés. Après pas mal de renseignements,une petite somme versé et les jantes de mon Touareg bien astiquer, on les a laissé repartir. On a ensuite commencer les préparatifs pour notre vrai business pour se rendre compte que les mêmes personnes continuaient à poser des problèmes. C'est dommage un de ceux qu'on avait capturé semblait moins con que les autres, espérons qu'on arrive à s'entendre.